La région de Kolda a renforcé la surveillance et le contrôle au niveau de ses frontières qui restent ouvertes à la circulation. Le mot d’ordre est d’éviter la propagation de cette maladie mortelle. Pour y arriver les leaders communautaires, les leaders d’opinion de la région et de la presse sont mis en contribution. Ainsi, un plan de préparation à la riposte a été élaboré. « Il compte plusieurs dispositifs, notamment le renforcement des points de prestations (hôpitaux, postes de santés, la prise en charge des cas, le renforcement des techniques de surveillance au niveau des frontières, le renforcement de la communication, la promotion des mesures d’hygiène et des mesures de prévention, le suivi et la coordination à tous les niveaux », a renseigné le médecin chef de région, Barnabé Gningue.
« Pour atteindre la cible, plusieurs activités sont au menu. Il s’agit de 24 émissions organisées dans les radios locales, 250 prestataires formés à travers les trois départements de la région, 360 spots, 300 causeries sur la maladie du virus Ebola suivi de la descente sur le terrain pour superviser les activités », a-t-il noté. Les mesures annoncées par les autorités sanitaires de la région de Kolda pour prémunir le Sénégal du virus Ebola, actuellement présent en Guinée, traduisent l’attention qu’ils portent à cette maladie dont le taux de la mortalité est d’environ 90% ». Et visent une meilleure implication de tous les acteurs communautaires pour une mobilisation « permanente » contre d’éventuels cas de maladie à virus Ebola dans la région, livre le journal « Enquête ».
« Pour atteindre la cible, plusieurs activités sont au menu. Il s’agit de 24 émissions organisées dans les radios locales, 250 prestataires formés à travers les trois départements de la région, 360 spots, 300 causeries sur la maladie du virus Ebola suivi de la descente sur le terrain pour superviser les activités », a-t-il noté. Les mesures annoncées par les autorités sanitaires de la région de Kolda pour prémunir le Sénégal du virus Ebola, actuellement présent en Guinée, traduisent l’attention qu’ils portent à cette maladie dont le taux de la mortalité est d’environ 90% ». Et visent une meilleure implication de tous les acteurs communautaires pour une mobilisation « permanente » contre d’éventuels cas de maladie à virus Ebola dans la région, livre le journal « Enquête ».