La visite du président de la République de Chine, Hu Jintao fait sortir Amnesty International Sénégal de son mutisme. L’organisme de défense des droits de l’homme remet au goût du jour les pratiques du régime chinois qui constituent pour ces organisations des cas de violences et d’atteintes aux droits de l’homme et de liberté de presse. «Alors que le Sénégal s’apprête à accueillir le Président Hu Jintao, Amnesty International Sénégal voudrait rappeler aux autorités et au peuple sénégalais que des millions de personnes, en Chine, sont privées de leurs droits humains fondamentaux tels que la liberté d’expression et d’association, la liberté religieuse et la liberté d’opinion», a-t-on lit dans un communiqué parvenu à la rédaction de Pressafrik.com.
Cette même source de souligner que «le Sénégal en tant que membre de la communauté internationale doit assumer la responsabilité collective qui incombe à cette communauté de promouvoir et protéger les droits humains en demandant au Président Hu Jintao de mettre immédiatement fin à la répression brutale exercée par son régime contre les Tibétains, les Ouïghours et les membres de groupes religieux comme les Chrétiens et les adeptes du Fa Lun Gong».
La filiale sénégalaise de Amnesty International de présager des entretiens entre les présidents sénégalais et chinois. «La défense de la liberté de la presse, du droit de ne pas être soumis à la torture et aux mauvais traitements, du droit à un procès équitable ainsi que le sort des prisonniers d’opinion Yang Tongyan, Hu Jia, Liu Xiaobo et Liu Jie doivent être au centre des discussions entre les Présidents Wade et Hu Jintao au même titre que les grands projets et les accords de financement et d’investissement», a-t-elle soutenu.
Amnesty International Sénégal demande instamment à la Chine, en tant que membre permanent du Conseil de sécurité des Nations Unies, de «cesser toute action pouvant saper le travail de la Cour pénale internationale pour lutter contre l’impunité des auteurs de graves atteintes aux droits humains, surtout lorsque les cas ont été déférés à la Cour par le Conseil de sécurité comme celui du Darfour au Soudan», renseigne le communiqué.
Le gouvernement chinois doit, selon la même source, se rendre à l’évidence qu’il ne pourra jamais promouvoir de façon efficace ses intérêts sur la scène internationale s’il continue à dénier les droits fondamentaux à un grand nombre de ses ressortissants et à fermer les yeux sur la violation de ces droits dans les pays avec lesquels il coopère.
Cette même source de souligner que «le Sénégal en tant que membre de la communauté internationale doit assumer la responsabilité collective qui incombe à cette communauté de promouvoir et protéger les droits humains en demandant au Président Hu Jintao de mettre immédiatement fin à la répression brutale exercée par son régime contre les Tibétains, les Ouïghours et les membres de groupes religieux comme les Chrétiens et les adeptes du Fa Lun Gong».
La filiale sénégalaise de Amnesty International de présager des entretiens entre les présidents sénégalais et chinois. «La défense de la liberté de la presse, du droit de ne pas être soumis à la torture et aux mauvais traitements, du droit à un procès équitable ainsi que le sort des prisonniers d’opinion Yang Tongyan, Hu Jia, Liu Xiaobo et Liu Jie doivent être au centre des discussions entre les Présidents Wade et Hu Jintao au même titre que les grands projets et les accords de financement et d’investissement», a-t-elle soutenu.
Amnesty International Sénégal demande instamment à la Chine, en tant que membre permanent du Conseil de sécurité des Nations Unies, de «cesser toute action pouvant saper le travail de la Cour pénale internationale pour lutter contre l’impunité des auteurs de graves atteintes aux droits humains, surtout lorsque les cas ont été déférés à la Cour par le Conseil de sécurité comme celui du Darfour au Soudan», renseigne le communiqué.
Le gouvernement chinois doit, selon la même source, se rendre à l’évidence qu’il ne pourra jamais promouvoir de façon efficace ses intérêts sur la scène internationale s’il continue à dénier les droits fondamentaux à un grand nombre de ses ressortissants et à fermer les yeux sur la violation de ces droits dans les pays avec lesquels il coopère.