Le PROGEP a pour objectif d’aménager la prévention des inondations dans les zones périurbaines de Dakar et de promouvoir les pratiques de gestion durable des villes, y compris la résilience face au climat, à Guédiawaye, Pikine, Diamniadio et Saint-Louis.
Selon Gora Ndiaye, ingénieur hydrologue, «les ouvrages de drainages réalisés dans la phase 1 du PROGEP, ont positivement impacté l’environnement et les conditions de vie des populations vivant dans les zones concernées. Tout le système est gravitaire. Même si on a des contraintes topographiques, le système fonctionne sans pompage. Et même avec une pluie de plus de 130 mm, les eaux s’écoulent en gravité sans pompage vers la mer».
Pour ce dernier, «ce qui est nécessaire, c’est d’assurer l’entretien périodique du dispositif, étendre les ouvrages, vers les quartiers qui n’ont pas été réalisés parce qu’on peut toujours mettre des canalisations jusque vers les points bas qui peuvent être récupérées. Au niveau du technopôle aussi, on branche les canalisations sous l’autoroute. Sur le plan hydrologique, toutes les eaux de Pikine, Golf, Fadja et même la Patte d’Oie, convergent vers le technopôle soit en surface ou par la nappe».
«Les eaux de la nappe qui ressortent au niveau du technopôle, quand ça remonte, cela pose beaucoup de problèmes au niveau de la route nationale. Et même au niveau de Dalifort. Aujourd’hui, ces eaux ont même un impact au niveau du technopôle», sert-il.
L'ingénieur hydrologue d'ajouter que: «Le travail n’est pas terminé » dans la mesure où «il faut aussi que l’Etat, les mairies, se donnent les moyens, d’étendre les réseaux pour toucher les zones qui n’ont pas été servies». Ce, d’autant plus que la question des eaux usées reste entière, soutient Gora Ndiaye.
La Directrice Technique de l’ADM soutient que «les travaux ont démarré depuis 2012». «Il a eu beaucoup d’impacts et de résultats. La réalisation de ces travaux, nous a permis d’améliorer de manière significative le cadre de vie des populations. Nous avons réduit le niveau d’inondations dans certains quartiers. Surtout au niveau de Dalifort, autant au niveau de Nietty Mbar, Bagdad, Wakhinane, ces réseaux qui ont été réalisés ont permis de réduire les risques d’inondation dans la banlieue», explique Madame Ndao.
A l’en croire, «23 km de canalisations ont été réalisées, 8 bassins pour une capacité de stockage globale de 315. 000 m3 et la fin du projet est prévue en 2019».
Selon Gora Ndiaye, ingénieur hydrologue, «les ouvrages de drainages réalisés dans la phase 1 du PROGEP, ont positivement impacté l’environnement et les conditions de vie des populations vivant dans les zones concernées. Tout le système est gravitaire. Même si on a des contraintes topographiques, le système fonctionne sans pompage. Et même avec une pluie de plus de 130 mm, les eaux s’écoulent en gravité sans pompage vers la mer».
Pour ce dernier, «ce qui est nécessaire, c’est d’assurer l’entretien périodique du dispositif, étendre les ouvrages, vers les quartiers qui n’ont pas été réalisés parce qu’on peut toujours mettre des canalisations jusque vers les points bas qui peuvent être récupérées. Au niveau du technopôle aussi, on branche les canalisations sous l’autoroute. Sur le plan hydrologique, toutes les eaux de Pikine, Golf, Fadja et même la Patte d’Oie, convergent vers le technopôle soit en surface ou par la nappe».
«Les eaux de la nappe qui ressortent au niveau du technopôle, quand ça remonte, cela pose beaucoup de problèmes au niveau de la route nationale. Et même au niveau de Dalifort. Aujourd’hui, ces eaux ont même un impact au niveau du technopôle», sert-il.
L'ingénieur hydrologue d'ajouter que: «Le travail n’est pas terminé » dans la mesure où «il faut aussi que l’Etat, les mairies, se donnent les moyens, d’étendre les réseaux pour toucher les zones qui n’ont pas été servies». Ce, d’autant plus que la question des eaux usées reste entière, soutient Gora Ndiaye.
La Directrice Technique de l’ADM soutient que «les travaux ont démarré depuis 2012». «Il a eu beaucoup d’impacts et de résultats. La réalisation de ces travaux, nous a permis d’améliorer de manière significative le cadre de vie des populations. Nous avons réduit le niveau d’inondations dans certains quartiers. Surtout au niveau de Dalifort, autant au niveau de Nietty Mbar, Bagdad, Wakhinane, ces réseaux qui ont été réalisés ont permis de réduire les risques d’inondation dans la banlieue», explique Madame Ndao.
A l’en croire, «23 km de canalisations ont été réalisées, 8 bassins pour une capacité de stockage globale de 315. 000 m3 et la fin du projet est prévue en 2019».