Le Premier ministre Ousmane Sonko a présidé la deuxième édition de la journée nationale de nettoiement à Saint-Louis ce samedi 6 juillet 2024. À cette occasion, il a abordé la question des accords de pêche, promettant de les réexaminer sérieusement. Il a exprimé sa compréhension des préoccupations des pêcheurs concernant l'accès aux ressources halieutiques.
« Je voudrais rassurer les pécheurs que nous avons compris leurs préoccupations pour l'accès à la ressource halieutique. Des solutions ont été élaborées notamment la discussion avec nos voisins mauritaniens qui ont accepté de renouveler des licences accordées aux pécheurs saint-louisiens », a déclaré le Premier ministre.
Ousmane Sonko a également souligné qu'il existe des initiatives plus structurelles en cours, notamment le réexamen des accords de pêche.
« Je voudrais également souligner que des solutions beaucoup plus structurelles sont en cours d'élaboration notamment par le réexamen des accords de pêches. Les fameux accords de pêches qui aujourd'hui ont permis à des étrangers de prélever de manière sauvage sans respecter les normes et sans débarquer sur nos côtes pour permettre une certaine économie de transformation. Ce sont des choses que l'on ne peut plus accepter. Et nous allons revoir ces accords dans le sens de permettre d'abord à l'exploitation locale nationale de pouvoir tirer un meilleur profit des ressources halieutiques », a-t-il fait savoir.
« Je voudrais rassurer les pécheurs que nous avons compris leurs préoccupations pour l'accès à la ressource halieutique. Des solutions ont été élaborées notamment la discussion avec nos voisins mauritaniens qui ont accepté de renouveler des licences accordées aux pécheurs saint-louisiens », a déclaré le Premier ministre.
Ousmane Sonko a également souligné qu'il existe des initiatives plus structurelles en cours, notamment le réexamen des accords de pêche.
« Je voudrais également souligner que des solutions beaucoup plus structurelles sont en cours d'élaboration notamment par le réexamen des accords de pêches. Les fameux accords de pêches qui aujourd'hui ont permis à des étrangers de prélever de manière sauvage sans respecter les normes et sans débarquer sur nos côtes pour permettre une certaine économie de transformation. Ce sont des choses que l'on ne peut plus accepter. Et nous allons revoir ces accords dans le sens de permettre d'abord à l'exploitation locale nationale de pouvoir tirer un meilleur profit des ressources halieutiques », a-t-il fait savoir.
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