Le désormais ex-président de la communauté rurale de Sangalkam (devenue commune) a refusé de participer à l’installation de la délégation spéciale qui devrait se tenir ce vendredi à la suite des nouveaux découpages administratifs.
«Il n’y aura pas d’installation de délégation spéciale ce vendredi à Sangalkam», a lancé Oumar Guèye à l’endroit de ses nombreux partisans venus à sa rescousse ce matin, a rapporté la Rfm (privée).
Selon lui, la notification d’installation d’une délégation spéciale ne lui est pas parvenue à temps.
«Ce n’est que ce matin, à 9h 15 que j’ai reçu des mains des forces de l’ordre la notification de la passation de service», a fait savoir Oumar Guèye qui souligne qu’il ne peut comprendre une telle démarche. «C’est pour cette raison que je ne participerais pas à cette installation», martèle-t-il.
Pour le moment les forces de l’ordre déployées en masse sur les lieux utilisent des grenades lacrymogènes pour repousser les populations composées de femmes, d’adultes de jeunes ainsi que les conseillers ruraux qui ont passé la nuit dans l’enceinte de la maison communautaire.
Oumar Guèye a, ensuite, remis en cause toute la procédure concernant le découpage administratif de Sangalkam.
«Il n’y aura pas d’installation de délégation spéciale ce vendredi à Sangalkam», a lancé Oumar Guèye à l’endroit de ses nombreux partisans venus à sa rescousse ce matin, a rapporté la Rfm (privée).
Selon lui, la notification d’installation d’une délégation spéciale ne lui est pas parvenue à temps.
«Ce n’est que ce matin, à 9h 15 que j’ai reçu des mains des forces de l’ordre la notification de la passation de service», a fait savoir Oumar Guèye qui souligne qu’il ne peut comprendre une telle démarche. «C’est pour cette raison que je ne participerais pas à cette installation», martèle-t-il.
Pour le moment les forces de l’ordre déployées en masse sur les lieux utilisent des grenades lacrymogènes pour repousser les populations composées de femmes, d’adultes de jeunes ainsi que les conseillers ruraux qui ont passé la nuit dans l’enceinte de la maison communautaire.
Oumar Guèye a, ensuite, remis en cause toute la procédure concernant le découpage administratif de Sangalkam.