« J'ai l'impression que le président des États-Unis est favorable à une reprise des contacts entre la Russie et les États-Unis. De notre côté, nous avons dit à plusieurs reprises que nous voudrions rétablir des relations complètes », a déclaré Vladimir Poutine au début de son entretien avec Mike Pompeo à Sotchi, sur les bords de la mer Noire.
« Il est fort souhaitable que votre visite en Russie se fasse au profit des relations entre la Russie et les États-Unis et contribue à leur développement », a-t-il ajouté. Il a salué l'enquête « assez objective » du procureur spécial Robert Mueller, qui a conclu à l'absence de collusion entre Donald Trump et Moscou, qualifiant cette accusation de « n'importe quoi ».
M. Poutine n'a cependant pas mentionné le fait que ce rapport a établi une ingérence russe dans la présidentielle américaine de 2016, ce que la Russie a toujours démenti.
« Certains domaines de coopérations sont excellents, sur la Corée du Nord, l'Afghanistan - nous avons fait du bon travail - et la lutte contre le terrorisme », a souligné de son côté Mike Pompeo. Ce sont des choses sur lesquelles nous pouvons nous baser ».
Lors de ce sommet, le ton conciliant du président Trump à l'égard du maître du Kremlin avait alors choqué la classe politique américaine. La Maison Blanche espère toutefois que la fin de l'enquête de Robert Mueller, qui a conclu il y a moins de deux mois à une ingérence russe dans la présidentielle de 2016 aux États-Unis, mais pas à une collusion entre l'équipe du candidat Trump et la Russie, permette de tourner la page de ces relations glaciales.
« Il est fort souhaitable que votre visite en Russie se fasse au profit des relations entre la Russie et les États-Unis et contribue à leur développement », a-t-il ajouté. Il a salué l'enquête « assez objective » du procureur spécial Robert Mueller, qui a conclu à l'absence de collusion entre Donald Trump et Moscou, qualifiant cette accusation de « n'importe quoi ».
M. Poutine n'a cependant pas mentionné le fait que ce rapport a établi une ingérence russe dans la présidentielle américaine de 2016, ce que la Russie a toujours démenti.
« Certains domaines de coopérations sont excellents, sur la Corée du Nord, l'Afghanistan - nous avons fait du bon travail - et la lutte contre le terrorisme », a souligné de son côté Mike Pompeo. Ce sont des choses sur lesquelles nous pouvons nous baser ».
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Lors de ce sommet, le ton conciliant du président Trump à l'égard du maître du Kremlin avait alors choqué la classe politique américaine. La Maison Blanche espère toutefois que la fin de l'enquête de Robert Mueller, qui a conclu il y a moins de deux mois à une ingérence russe dans la présidentielle de 2016 aux États-Unis, mais pas à une collusion entre l'équipe du candidat Trump et la Russie, permette de tourner la page de ces relations glaciales.