Cinq avions scrutent vendredi 21 mars le sud de l'océan Indien, à la recherche d'objets flottants repérés par images satellitaires, peut-être des débris du vol MH370 disparu il y a presque deux semaines, mais les autorités soulignent la difficulté de l'opération dans ces mers australes isolées.
Treize jours après la disparition du Boeing 777 de Malaysia Airlines, entre Kuala Lumpur et Pékin, les recherches se concentrent sur une vaste étendue d'eau glacée de quelque 23.000 km2, à 2.500 km au sud-ouest de Perth, la principale ville de la côte ouest australienne.
C'est très loin de la trajectoire initiale de l'avion, qui avait à son bord 239 personnes.
"La meilleure piste crédible pour le moment"
L'enquête a été relancée la veille par deux larges objets flottants, dont un de 24 mètres, distingués à grand peine sur des images satellites qui datent de dimanche.
Qualifiée de "nouvelle et crédible" par le Premier ministre australien Tony Abbott, cette piste est "probablement la meilleure que nous ayons pour le moment", selon le responsable de l'Autorité australienne de sécurité maritime (AMSA), John Young.
Cinq appareils d'Australie, de Nouvelle-Zélande et des États-Unis prenent part aux recherches vendredi. Les premiers survols, jeudi, n'avaient rien donné, les opérations ayant souffert de mauvaises conditions météo.
Le temps doit s'éclaircir vendredi et faciliter l'observation des flots, selon l'agence australienne de météorologie.
La Chine va déployer au moins sept navires dans le sud de l'Océan indien, a annoncé vendredi un média d'Etat.
Les navires de secours Haixun 01 et 31, tout comme les Nanhaijiu 101 et 115, sont sur le point de partir pour la zone, et trois autres navires chinois sont déjà en route, selon l'agence officielle Chine nouvelle.
Selon Chine nouvelle, le brise-glace chinois Xuelong ("Dragon des neiges") sera également déployé sur place "aussi rapidement que possible". Il est actuellement amarré dans le port australien de Fremantle, près de Perth.
C'est un "cauchemar logistique"
Mais la zone à couvrir est très loin des côtes et chaque appareil ne peut effectuer que deux heures d'observation avant de revenir à terre.
Un navire marchand norvégien est arrivé jeudi dans la zone pour participer aux opérations. Un navire australien, le HMAS Success, assez puissant pour remorquer d'énormes débris, est en route mais n'arrivera pas sur place avant plusieurs jours.
Treize jours après la disparition du Boeing 777 de Malaysia Airlines, entre Kuala Lumpur et Pékin, les recherches se concentrent sur une vaste étendue d'eau glacée de quelque 23.000 km2, à 2.500 km au sud-ouest de Perth, la principale ville de la côte ouest australienne.
C'est très loin de la trajectoire initiale de l'avion, qui avait à son bord 239 personnes.
"La meilleure piste crédible pour le moment"
L'enquête a été relancée la veille par deux larges objets flottants, dont un de 24 mètres, distingués à grand peine sur des images satellites qui datent de dimanche.
Qualifiée de "nouvelle et crédible" par le Premier ministre australien Tony Abbott, cette piste est "probablement la meilleure que nous ayons pour le moment", selon le responsable de l'Autorité australienne de sécurité maritime (AMSA), John Young.
Cinq appareils d'Australie, de Nouvelle-Zélande et des États-Unis prenent part aux recherches vendredi. Les premiers survols, jeudi, n'avaient rien donné, les opérations ayant souffert de mauvaises conditions météo.
Le temps doit s'éclaircir vendredi et faciliter l'observation des flots, selon l'agence australienne de météorologie.
La Chine va déployer au moins sept navires dans le sud de l'Océan indien, a annoncé vendredi un média d'Etat.
Les navires de secours Haixun 01 et 31, tout comme les Nanhaijiu 101 et 115, sont sur le point de partir pour la zone, et trois autres navires chinois sont déjà en route, selon l'agence officielle Chine nouvelle.
Selon Chine nouvelle, le brise-glace chinois Xuelong ("Dragon des neiges") sera également déployé sur place "aussi rapidement que possible". Il est actuellement amarré dans le port australien de Fremantle, près de Perth.
C'est un "cauchemar logistique"
Mais la zone à couvrir est très loin des côtes et chaque appareil ne peut effectuer que deux heures d'observation avant de revenir à terre.
Un navire marchand norvégien est arrivé jeudi dans la zone pour participer aux opérations. Un navire australien, le HMAS Success, assez puissant pour remorquer d'énormes débris, est en route mais n'arrivera pas sur place avant plusieurs jours.
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