Devant la barre du tribunal des flagrants délits, l’agent de nettoiement, W. Camara, poursuivi pour le délit de vol avec escalade, a balayé d’un revers de mains ses accusations en soutenant avoir été arrêté à cause de sa non maîtrise de la langue Wolof. « Je travaille depuis 2010 dans cet immeuble en tant qu’agent de nettoiement, et la nuit des faits je n’étais même pas de service », s’est-il défendu.
S’agissant des chaussures en plastique dont les traces laissées jusque devant le mur de la façade ont mené à son arrestation, il s’explique : « j’ai laissé ces chaussures et ma tenue de travail à l’endroit ou nous tous laissons nos tenus. Donc celui qui a commis le forfait peut les prendre sans problème ». Caroline qui s’est rendu compte du vol de son ordinateur a porté plainte contre X devant les limiers. Ces derniers qui se sont rendus sur les lieux, ont identifié W. Camara, comme étant le propriétaire des chaussures qui ont laissé des empreintes sur le mur. Mis aux arrêts, le prévenu nie les fait devant les enquêteurs. Relevant cette seule et unique preuve qui ne serait pas suffisante, le représentant du ministère public a plaidé la relaxe, livre le journal "libération".
S’agissant des chaussures en plastique dont les traces laissées jusque devant le mur de la façade ont mené à son arrestation, il s’explique : « j’ai laissé ces chaussures et ma tenue de travail à l’endroit ou nous tous laissons nos tenus. Donc celui qui a commis le forfait peut les prendre sans problème ». Caroline qui s’est rendu compte du vol de son ordinateur a porté plainte contre X devant les limiers. Ces derniers qui se sont rendus sur les lieux, ont identifié W. Camara, comme étant le propriétaire des chaussures qui ont laissé des empreintes sur le mur. Mis aux arrêts, le prévenu nie les fait devant les enquêteurs. Relevant cette seule et unique preuve qui ne serait pas suffisante, le représentant du ministère public a plaidé la relaxe, livre le journal "libération".