Le village de Safane, Commune de Simbandi Balante dans la région de Sédhiou a reçu la visite des individus armés de Kalachnikovs, ce mercredi avant d’emporter le bétail. Lancés à leur poursuite, après un échange de tirs dans la forêt, les villageois ont pu récupérer une trentaine de bœufs. Les assaillants se sont retirés vers la Guinée-Bissau.
Selon le maire de la commune de Simbandi Balante, « les populations vont se défendre désormais à leur manière. Nous avons alerté depuis sur les cas de vol de bétail dans la zone, mais jusqu'à présent, le phénomène perdure ».
Déplorant la situation, le maire Kalbert Mané d’ajouter : « Pourtant, les autorités compétentes notamment le sous-préfet de Djibanar sont informées. Si elles ne prennent le taureau par les cornes, l’irréparable risque de se produire. Tant les populations sont prêtes à y laisser leur vie chaque fois que des cas de vols de bétail surgissent. Car, le phénomène à presque trop duré ».
L’article 368 du Code pénal réaménagé par l’introduction d’un alinéa 3 nouveau fait du vol de bétail, une « circonstance aggravante » (un crime). Cette disposition prévoit une peine d’emprisonnement de cinq (5) à dix (10) ans de prison. Cette nouvelle disposition exclut par ailleurs, le sursis et élève la peine d’amende à cinq cent mille (500 000) F CFA.
Selon le maire de la commune de Simbandi Balante, « les populations vont se défendre désormais à leur manière. Nous avons alerté depuis sur les cas de vol de bétail dans la zone, mais jusqu'à présent, le phénomène perdure ».
Déplorant la situation, le maire Kalbert Mané d’ajouter : « Pourtant, les autorités compétentes notamment le sous-préfet de Djibanar sont informées. Si elles ne prennent le taureau par les cornes, l’irréparable risque de se produire. Tant les populations sont prêtes à y laisser leur vie chaque fois que des cas de vols de bétail surgissent. Car, le phénomène à presque trop duré ».
L’article 368 du Code pénal réaménagé par l’introduction d’un alinéa 3 nouveau fait du vol de bétail, une « circonstance aggravante » (un crime). Cette disposition prévoit une peine d’emprisonnement de cinq (5) à dix (10) ans de prison. Cette nouvelle disposition exclut par ailleurs, le sursis et élève la peine d’amende à cinq cent mille (500 000) F CFA.