Mor Dieng a passé en revue la politique de l’éducation de l’Etat avant de faire savoir que sous Senghor, la qualité de l’enseignement était au top. «Si l’actuel régime pense que l’éducation, c’est construire des écoles sans enseignants, sans formation ni de moyens, il se trompe. En classe de Cm2, 95% des élèves passent et sans la moyenne. Ce qui fait que rien ne va plus», peste le chef de file de Yaakar.
Sur un autre chapitre, Mor Dieng décoche des flèches contre le président de la République et son gouvernement. «Le pays a accusé un retard dans les domaines prioritaires. La santé et la justice qui sont instrumentalisées, l’éducation qui bat de l’aile au jour le jour, des milliards dépensés sans raison. Même dans les domaines fondamentaux, l’Etat est passé à côté. Le pays s’est appauvris », a-t-il dénoncé. A l’en croire, Abdoulaye Wade perdra le pouvoir en 2012, « vu que la population lui a tourné le dos».
Abdoul K. Diop (Correspondant dans la banlieue)
Sur un autre chapitre, Mor Dieng décoche des flèches contre le président de la République et son gouvernement. «Le pays a accusé un retard dans les domaines prioritaires. La santé et la justice qui sont instrumentalisées, l’éducation qui bat de l’aile au jour le jour, des milliards dépensés sans raison. Même dans les domaines fondamentaux, l’Etat est passé à côté. Le pays s’est appauvris », a-t-il dénoncé. A l’en croire, Abdoulaye Wade perdra le pouvoir en 2012, « vu que la population lui a tourné le dos».
Abdoul K. Diop (Correspondant dans la banlieue)