Le monument de la renaissance africaine suscite beaucoup de polémique. Inauguré ce samedi 3 avril, cette sculpture monumentale en bronze de 53 mètres, plus grande que la statue de la Liberté est plus que jamais controversée. L’opposition sénégalaise a organisé ce même jour une marche pour dénoncer l’érection de cette statue, expression selon elle, de la mégalomanie du Président. La marche était interdite par les autorités avant d'être finalement autorisée samedi matin. Cette interdiction a contribué à sa médiatisation. Car bon nombre de journalistes étrangers qui étaient venus pour l’inauguration du monument et le cinquantenaire du Sénégal ont couvert cette manifestation.
Dans leurs textes, ils n’ont pas manqué de revenir sur le fameux monument.
Le site français www.rue89.com estime que: «ce monument est surtout venu cristalliser toutes les polémiques autour du personnage d'Abdoulaye Wade, âgé de 83 ans, au pouvoir depuis dix ans et qui gouverne dans une ambiance de fin de règne aux intrigues nombreuses. Ces dernières tournent notamment autour de son fils Karim qu'il aimerait bien adouber comme successeur, à l'instar d'autres « fils de » sur le continent».
Le journal du dimanche a aussi repris dans son site, leJDD.fr, une interview que le chef de l’Etat sénégalais lui a accordée. Dans cet entretien, le Président de la République rejette les critiques qui sont faits vis-à-vis de son «œuvre». « Je ne les comprends absolument pas. Que voulait-on que je fasse, une petite statue ? La statue de la Liberté, est-ce de la démesure ? Le Christ rédempteur qui domine Rio, est-ce de la mégalomanie ? Se demande-t-on pourquoi les Egyptiens ont construit le Sphinx ? » S’est il interrogé.
Plusieurs chaînes de télévisions européennes et américaines ont relayé des informations sur la marche, la controverse sur le monument mais aussi sur le prochain départ des bases françaises et les griefs de l’opposition contre Me Wade comme sa volonté d’être remplacé par son fils Des questions très présentent sur l’actualité internationale depuis la commémoration des 10 ans de l’alternance.
Le Chef de l’Etat aime bien la presse et cette dernière le lui rend bien.
Pourtant le site Rue89.com, indique que «ces débats animés auraient pu être la célébration de l'existence d'un véritable espace démocratique au Sénégal, l'un des premiers, sous Léopold Sédar Senghor, à avoir pratiqué le multipartisme en Afrique, et à n'avoir jamais connu de coup d'Etat militaire contrairement à la plupart de ses voisins».
Dans leurs textes, ils n’ont pas manqué de revenir sur le fameux monument.
Le site français www.rue89.com estime que: «ce monument est surtout venu cristalliser toutes les polémiques autour du personnage d'Abdoulaye Wade, âgé de 83 ans, au pouvoir depuis dix ans et qui gouverne dans une ambiance de fin de règne aux intrigues nombreuses. Ces dernières tournent notamment autour de son fils Karim qu'il aimerait bien adouber comme successeur, à l'instar d'autres « fils de » sur le continent».
Le journal du dimanche a aussi repris dans son site, leJDD.fr, une interview que le chef de l’Etat sénégalais lui a accordée. Dans cet entretien, le Président de la République rejette les critiques qui sont faits vis-à-vis de son «œuvre». « Je ne les comprends absolument pas. Que voulait-on que je fasse, une petite statue ? La statue de la Liberté, est-ce de la démesure ? Le Christ rédempteur qui domine Rio, est-ce de la mégalomanie ? Se demande-t-on pourquoi les Egyptiens ont construit le Sphinx ? » S’est il interrogé.
Plusieurs chaînes de télévisions européennes et américaines ont relayé des informations sur la marche, la controverse sur le monument mais aussi sur le prochain départ des bases françaises et les griefs de l’opposition contre Me Wade comme sa volonté d’être remplacé par son fils Des questions très présentent sur l’actualité internationale depuis la commémoration des 10 ans de l’alternance.
Le Chef de l’Etat aime bien la presse et cette dernière le lui rend bien.
Pourtant le site Rue89.com, indique que «ces débats animés auraient pu être la célébration de l'existence d'un véritable espace démocratique au Sénégal, l'un des premiers, sous Léopold Sédar Senghor, à avoir pratiqué le multipartisme en Afrique, et à n'avoir jamais connu de coup d'Etat militaire contrairement à la plupart de ses voisins».