Une situation tendue a failli dégénérer hier lundi en fin de matinée entre les éléments du poste de police de Wakhinane Nimzatt (dans la banlieue dakaroise) et les chauffeurs de taxi-clandos de la commune. La tension est survenue après que plusieurs chauffeurs ont été arrêtés et jetés en cellule de police et leurs véhicules ont été immobilisés dans l'enceinte du poste.
Les jeunes chauffeurs, soutenus par leurs parents et amis, ont rapidement barricadé le rond-point situé Edk, interrompant la circulation routière. Ils ont menacé de franchir en masse le portail du poste de police pour libérer leurs camarades retenus depuis trois (3) heures. Le face-à-face très tendu a perduré jusqu'à ce que le Commandant et autres émissaires ont été dépêchés pour négocier. Finalement, c'est vers 16 heures que les portes des cellules ont été ouvertes et les détenus ont été libérés sans aucune explication ni motif décliné.
Cependant, renseigne L'Observateur, la pression n'a pas diminué, car ces chauffeurs ont rejoint directement leurs collègues sur le front. Ils ont organisé un point de presse improvisé pour exprimer leur colère.
L'un des porte-paroles, Yankhoba Ngom, a exprimé leurs frustrations quotidiennes et les tracasseries subies de la part des agents de la circulation, qui leur réclament entre 1 000 et 2 000 FCFA à chacun, tous les matins. « Les opérations, nous y sommes habitués, mais aujourd'hui, ils sont venus en nombre, non seulement pour contrôler les voitures, mais en même temps pour arrêter les chauffeurs parmi nous et les mettre en détention, sans aucune notification », a-t-il fustigé.
Les jeunes chauffeurs, soutenus par leurs parents et amis, ont rapidement barricadé le rond-point situé Edk, interrompant la circulation routière. Ils ont menacé de franchir en masse le portail du poste de police pour libérer leurs camarades retenus depuis trois (3) heures. Le face-à-face très tendu a perduré jusqu'à ce que le Commandant et autres émissaires ont été dépêchés pour négocier. Finalement, c'est vers 16 heures que les portes des cellules ont été ouvertes et les détenus ont été libérés sans aucune explication ni motif décliné.
Cependant, renseigne L'Observateur, la pression n'a pas diminué, car ces chauffeurs ont rejoint directement leurs collègues sur le front. Ils ont organisé un point de presse improvisé pour exprimer leur colère.
L'un des porte-paroles, Yankhoba Ngom, a exprimé leurs frustrations quotidiennes et les tracasseries subies de la part des agents de la circulation, qui leur réclament entre 1 000 et 2 000 FCFA à chacun, tous les matins. « Les opérations, nous y sommes habitués, mais aujourd'hui, ils sont venus en nombre, non seulement pour contrôler les voitures, mais en même temps pour arrêter les chauffeurs parmi nous et les mettre en détention, sans aucune notification », a-t-il fustigé.