« Quand on a acquis une imprimerie, on a décidé de multiplier les titres. Sept ans après, nous avons fait le bilan et nous nous sommes rendus compte que pour l’annonceur les trois titres du groupe font « un » (…). Idem pour l’Etat dans l’attribution de l’aide à la presse. On réserve 20 millions au groupe nonobstant qu’il soit composé de trois quotidiens, trois radios et une télévision.
(…) Et même les lecteurs assimilent souvent les autres titres du groupe à walfquotidien. Sans pub, il est difficile de maintenir un journal. Donc, nous avons fait le bilan et pensé à soit regrouper les trois titres ou à céder les deux titres aux équipes respectives qui les portent depuis le début. C’est la deuxième formule qui a été retenue. Le matériel est octroyé aux deux directeurs de publication en raison de leur ancienneté, les deux journaux seront imprimés par l’imprimerie de walf Fadjri à un prix compétitif. Et pour qu’on ne prenne pas ces deux journaux comme faisant partis du groupe, ils vont chercher leurs propres locaux… ».
(…) Et même les lecteurs assimilent souvent les autres titres du groupe à walfquotidien. Sans pub, il est difficile de maintenir un journal. Donc, nous avons fait le bilan et pensé à soit regrouper les trois titres ou à céder les deux titres aux équipes respectives qui les portent depuis le début. C’est la deuxième formule qui a été retenue. Le matériel est octroyé aux deux directeurs de publication en raison de leur ancienneté, les deux journaux seront imprimés par l’imprimerie de walf Fadjri à un prix compétitif. Et pour qu’on ne prenne pas ces deux journaux comme faisant partis du groupe, ils vont chercher leurs propres locaux… ».