« Nous nous battons pour réconcilier le bloc des socialistes. Ce que nous avons vécu ensemble vaut mieux que ce nous a divisé. Il est temps que nous nous retrouvions. Si nous voulons construire une alternative sérieuse, il nous faut construire un bloc fort. Je demande à Robert Sagna, Ousmane Tanor Dieng, Moustapha Niasse, Abdoulaye Makhtar Diop etc. un sursaut de grandeur. Il faut que nous nous retrouvions», a dit M. Wilane.
Interpelé sur les problèmes crypto personnels entre les différents têtes de ponts socialistes, il relativise : « Si Niasse a eu un problème, c’est avec Abdou Diouf qui n’est plus le responsable du Ps. Ousmane Tanor Dieng est l’objet de légende et de mythe mais il n’a aucun problème avec qui que ce soit ».
Justifiant l’absence des leaders à la marche du 06 novembre, Wilane fait savori qu’ils n’ont pas voulu imposer aux jeunes un agenda qui les arrange, conscient qu’ils sont que nul n’est indispensable.
A ses yeux, malgré le grand succès de la marche, on aurait pu avoir une plus grande mobilisation n’eut été les menaces d’interdiction.
Pour le maire de Fatick, le débat politique est très pauvre au Sénégal. « Il est temps de réconcilier la politique avec elle-même. Au Sénégal, on n’a pas une politique économique, on n’a pas de politique de développement rural, on n’a pas une politique de jeunesse. Depuis 20 ans, c’est du pilotage à vue », souligne M. Wilane.
Interpelé sur les problèmes crypto personnels entre les différents têtes de ponts socialistes, il relativise : « Si Niasse a eu un problème, c’est avec Abdou Diouf qui n’est plus le responsable du Ps. Ousmane Tanor Dieng est l’objet de légende et de mythe mais il n’a aucun problème avec qui que ce soit ».
Justifiant l’absence des leaders à la marche du 06 novembre, Wilane fait savori qu’ils n’ont pas voulu imposer aux jeunes un agenda qui les arrange, conscient qu’ils sont que nul n’est indispensable.
A ses yeux, malgré le grand succès de la marche, on aurait pu avoir une plus grande mobilisation n’eut été les menaces d’interdiction.
Pour le maire de Fatick, le débat politique est très pauvre au Sénégal. « Il est temps de réconcilier la politique avec elle-même. Au Sénégal, on n’a pas une politique économique, on n’a pas de politique de développement rural, on n’a pas une politique de jeunesse. Depuis 20 ans, c’est du pilotage à vue », souligne M. Wilane.