La DPC, qui agit au nom de l'Union européenne, "a salué l'accord trouvé avec X afin qu'il suspende son utilisation des données personnelles de (ses) utilisateurs européens" pour "entraîner son intelligence artificielle Grok", a indiqué jeudi l'organisation.
Le réseau social d'Elon Musk s'est servi des données personnelles de ses utilisateurs européens entre le 7 mai et le 1er août, d'après la DPC qui a saisi la justice irlandaise pour violation des règles de l'UE en matière de protection des données (RGPD).
La DPC, qui travaille en collaboration avec les régulateurs européens, "continue à examiner dans quelle mesure le traitement de ces données est conforme au RGPD", a précisé Des Hogan, son président, cité dans le communiqué.
"Nous continuerons de travailler avec la DPC à propos de Grok et d'autres sujets liés à l'intelligence artificielle, comme nous le faisons depuis l'année dernière", a de son côté déclaré le réseau social X dans une publication vendredi.
La plateforme est visée par des plaintes dans huit pays européens pour son utilisation "illégale" des données personnelles de ses utilisateurs dans un programme d'intelligence artificielle, selon un communiqué de l'association Noyb.
X "n'a jamais informé ses utilisateurs de manière proactive que leurs données personnelles étaient utilisées pour entraîner l'IA", a écrit cette semaine l'ONG viennoise, bête noire des géants de la tech qui a déjà fait reculer Meta sur le même sujet en juin.
"Il semble que la plupart des gens aient découvert le nouveau paramètre par défaut grâce au message d'un utilisateur le 26 juillet", s'est indignée l'organisation, qui a demandé au régulateur européen une "procédure d'urgence".
Le réseau social d'Elon Musk s'est servi des données personnelles de ses utilisateurs européens entre le 7 mai et le 1er août, d'après la DPC qui a saisi la justice irlandaise pour violation des règles de l'UE en matière de protection des données (RGPD).
La DPC, qui travaille en collaboration avec les régulateurs européens, "continue à examiner dans quelle mesure le traitement de ces données est conforme au RGPD", a précisé Des Hogan, son président, cité dans le communiqué.
"Nous continuerons de travailler avec la DPC à propos de Grok et d'autres sujets liés à l'intelligence artificielle, comme nous le faisons depuis l'année dernière", a de son côté déclaré le réseau social X dans une publication vendredi.
La plateforme est visée par des plaintes dans huit pays européens pour son utilisation "illégale" des données personnelles de ses utilisateurs dans un programme d'intelligence artificielle, selon un communiqué de l'association Noyb.
X "n'a jamais informé ses utilisateurs de manière proactive que leurs données personnelles étaient utilisées pour entraîner l'IA", a écrit cette semaine l'ONG viennoise, bête noire des géants de la tech qui a déjà fait reculer Meta sur le même sujet en juin.
"Il semble que la plupart des gens aient découvert le nouveau paramètre par défaut grâce au message d'un utilisateur le 26 juillet", s'est indignée l'organisation, qui a demandé au régulateur européen une "procédure d'urgence".