Le rejet des recours déposés par les coalitions de partis politiques et d'indépendants engagés aux élections législatives du 31 juillet 2022, par les sept (7) sages du Conseil constitutionnel fait réagir le mouvement citoyen Y'en A Marre.
Dans un communiqué parvenu à la rédaction, Aliou Sané et Cie accusent le Conseil constitutionnel de "plonger le pays dans une impasse politique sans précédent qui laisse planer de grands risques sur la stabilité du pays."
La raison avancée par ce collectif constitué de rappeurs, de journalistes, d'étudiants, d'ouvriers, de professeurs, etc. est que "des erreurs flagrantes et violations manifestes de la loi électorale par la Direction Générale des Elections (DGE), qui ont provoqué le rejet de listes de coalitions, ont été cautionnées par cette instance de dernier recours, dans sa décision du vendredi 3 juin 2022".
Y'en A Marre explique que pourtant "cette même décision de l'autorité valide la liste des titulaires de la coalition BBY au scrutin majoritaire proportionnel et invalide celle des suppléants, inversement, elle valide la liste des suppléants de Yewwi Askan Wi tout en invalidant celle des titulaires. Un acte en parfaite contradiction avec les dispositions de l'article 154 du Code électoral, car les listes des titulaires et suppléants sont indissociables. Le principe aurait appelé à une invalidation de toutes listes concernées".
Par cet acte, considère le mouvement Y'en A Marre "le Conseil constitutionnel entérine un stratagème de la DGE et de sa tutelle le ministère de l'Intérieur, ayant pour seul objectif, de sauver la liste des titulaires de BBY (composée des principaux leaders de la majorité présidentielle), d'éliminer de la course aux législatives plusieurs leaders de l'opposition, et aussi des coalitions telles que Gem Sa Hopp, Jammi Gox Yi, And Nawle Ligeey, Delar Sa Gos".
Le mouvement Y'en A Marre dénonce et rejette ces décisions qu'il qualifie "inédites et iniques, qui jettent les bases d'une déstructuration radicale de notre processus électoral, et bafouent le principe de sincérité des prochaines élections législatives, gage de stabilité du pays."
En conséquence, Y'en A Marre "se réserve le droit de désigner nommément les 7 membres du Conseil constitutionnel comme étant les principaux responsables de tout ce qui pourrait résulter de leurs décisions irresponsables."
Dans un communiqué parvenu à la rédaction, Aliou Sané et Cie accusent le Conseil constitutionnel de "plonger le pays dans une impasse politique sans précédent qui laisse planer de grands risques sur la stabilité du pays."
La raison avancée par ce collectif constitué de rappeurs, de journalistes, d'étudiants, d'ouvriers, de professeurs, etc. est que "des erreurs flagrantes et violations manifestes de la loi électorale par la Direction Générale des Elections (DGE), qui ont provoqué le rejet de listes de coalitions, ont été cautionnées par cette instance de dernier recours, dans sa décision du vendredi 3 juin 2022".
Y'en A Marre explique que pourtant "cette même décision de l'autorité valide la liste des titulaires de la coalition BBY au scrutin majoritaire proportionnel et invalide celle des suppléants, inversement, elle valide la liste des suppléants de Yewwi Askan Wi tout en invalidant celle des titulaires. Un acte en parfaite contradiction avec les dispositions de l'article 154 du Code électoral, car les listes des titulaires et suppléants sont indissociables. Le principe aurait appelé à une invalidation de toutes listes concernées".
Par cet acte, considère le mouvement Y'en A Marre "le Conseil constitutionnel entérine un stratagème de la DGE et de sa tutelle le ministère de l'Intérieur, ayant pour seul objectif, de sauver la liste des titulaires de BBY (composée des principaux leaders de la majorité présidentielle), d'éliminer de la course aux législatives plusieurs leaders de l'opposition, et aussi des coalitions telles que Gem Sa Hopp, Jammi Gox Yi, And Nawle Ligeey, Delar Sa Gos".
Le mouvement Y'en A Marre dénonce et rejette ces décisions qu'il qualifie "inédites et iniques, qui jettent les bases d'une déstructuration radicale de notre processus électoral, et bafouent le principe de sincérité des prochaines élections législatives, gage de stabilité du pays."
En conséquence, Y'en A Marre "se réserve le droit de désigner nommément les 7 membres du Conseil constitutionnel comme étant les principaux responsables de tout ce qui pourrait résulter de leurs décisions irresponsables."