Les récentes déclarations de Nadine Morano sur le plateau de On n’est pas couché (France 2), sur lequel elle déclarait que la France était "un pays de race blanche" continuent de faire réagir. Après la classe politique, c'est maintenant la classe artistique qui s'en prend à la députée européenne.
Ainsi, la chanteuse Zaz, interviewée dans Paris-Match, et qui s'exprimait à l'occasion du concert de la tolérance, qui a eu lieu le dimanche 4 octobre à Agadir au Maroc, a bien fait comprendre qu'elle n'avait pas apprécié les propos de la femme politique :"On est obligé d'en parler ? Je pensais que l'on vivait tous sur la même planète, mais pas Nadine Morano. En plus, elle est persuadée d'être dans le vrai".
Zaz, pour qui la tolérance signifie "rencontrer quelqu'un sans préjugé. S'enrichir de l'autre grâce à ses différences", est même allée plus loin et a conclu : "C'est dramatique de vouloir mettre des gens dans des cases... Difficile de rester tolérant avec elle...".
"JE NE SUIS PAS DE LA RACE DES LÂCHES"
Nadine Morano, elle, continue de se défendre après la polémique. Sur les réseaux sociaux, elle en a rajouté une couche, et a écrit : "Je ne suis pas de la race des lâches, pour aucune fonction, je ne renierai le Général de Gaulle ! Dès mon retour de Moscou hier soir, je suis allée directement me recueillir sur la tombe du Général de Gaulle (...) Je ne savais pas que citer ses propos susciterait un tel lynchage médiatique et une telle hystérie chez mes 'amis' politiques qui fait bien rigoler nos adversaires".
Ainsi, la chanteuse Zaz, interviewée dans Paris-Match, et qui s'exprimait à l'occasion du concert de la tolérance, qui a eu lieu le dimanche 4 octobre à Agadir au Maroc, a bien fait comprendre qu'elle n'avait pas apprécié les propos de la femme politique :"On est obligé d'en parler ? Je pensais que l'on vivait tous sur la même planète, mais pas Nadine Morano. En plus, elle est persuadée d'être dans le vrai".
Zaz, pour qui la tolérance signifie "rencontrer quelqu'un sans préjugé. S'enrichir de l'autre grâce à ses différences", est même allée plus loin et a conclu : "C'est dramatique de vouloir mettre des gens dans des cases... Difficile de rester tolérant avec elle...".
"JE NE SUIS PAS DE LA RACE DES LÂCHES"
Nadine Morano, elle, continue de se défendre après la polémique. Sur les réseaux sociaux, elle en a rajouté une couche, et a écrit : "Je ne suis pas de la race des lâches, pour aucune fonction, je ne renierai le Général de Gaulle ! Dès mon retour de Moscou hier soir, je suis allée directement me recueillir sur la tombe du Général de Gaulle (...) Je ne savais pas que citer ses propos susciterait un tel lynchage médiatique et une telle hystérie chez mes 'amis' politiques qui fait bien rigoler nos adversaires".