Une marche des jeunes de Ziguinchor dégénère. Bilan : le véhicule de l’inspecteur d’académie incendié dans l’enceinte de l’université de Ziguinchor.
Les élèves l’ont arraché du chauffeur pour le conduire à l’enceinte de l’université et y mettre le feu.
Les autorités de Ziguinchor tiennent une réunion de crise pour appréhender la situation et prendre des mesures urgentes.
Avant d'incendier ce véhicule, les bacheliers n'ont orienté ont fait le tour de ville pour déloger tous les écoliers. Ils ont ainsi bouleversé tout le calendrier scolaire de la journée et mis la tension au coeur de Ziguinchor.
Pendant ce temps, dans la même ville, un sit-in des jeunes chrétiens se tient devant la cathédrale. Ils ont marché avant de tenir le siège à la cathédrale Saint Antoine de Padou. Ces jeunes ont adressé un message au chef de l’Etat dans lequel ils dénoncent les propos jugés « offensants » du chef de l’Etat.
Par ailleurs, ces jeunes voulaient faire une marche, mais le chef de l’Eglise s’y est opposé, chose acceptée non sans préciser qu’ils ne vont pas accepter que les autorités « qui qu’elles soient se jouent de leur religion ».
Les élèves l’ont arraché du chauffeur pour le conduire à l’enceinte de l’université et y mettre le feu.
Les autorités de Ziguinchor tiennent une réunion de crise pour appréhender la situation et prendre des mesures urgentes.
Avant d'incendier ce véhicule, les bacheliers n'ont orienté ont fait le tour de ville pour déloger tous les écoliers. Ils ont ainsi bouleversé tout le calendrier scolaire de la journée et mis la tension au coeur de Ziguinchor.
Pendant ce temps, dans la même ville, un sit-in des jeunes chrétiens se tient devant la cathédrale. Ils ont marché avant de tenir le siège à la cathédrale Saint Antoine de Padou. Ces jeunes ont adressé un message au chef de l’Etat dans lequel ils dénoncent les propos jugés « offensants » du chef de l’Etat.
Par ailleurs, ces jeunes voulaient faire une marche, mais le chef de l’Eglise s’y est opposé, chose acceptée non sans préciser qu’ils ne vont pas accepter que les autorités « qui qu’elles soient se jouent de leur religion ».