La levée de l’interdiction de l’exportation de l’anacarde par voie terrestre a été décriée. Cette mesure a créé un malaise entre docker et transporteur et acteur de la filière. Si certains militent en faveur d’un transport exclusif par voie maritime, d’autres pensent qu’il faut s’ouvrir à d’autres moyens de transport.
Depuis deux ans, les dockers de Ziguinchor (Sud) ont été privés d’activité en raison de problème de navire. Lorsque la reprise du trafic maritime a été annoncée, l’enthousiasme initial a rapidement cédé la place à la frustration. Pour ces dockers, cette décision du ministre de tutelle d’ouvrir la route traduit une volonté d’ouvrir la route au port de Ziguinchor.
« Quand le ministre était venu ici pour dire que maintenant à partir d’aujourd’hui, c’est au port. On a applaudi. Je ne dis pas que les dockers ont applaudi, mais la région. Mais à notre grande surprise, c’est officiel qu’ils ont laissé la route. C’est ce qui nous a étonnés », tonne Moctar Dabo le président des dockers sur Iradio.
D’ailleurs, les acteurs de la filière anacarde qui étaient venus soutenir les dockers dans ce combat, annoncent des actions pour empêcher le transport par voie terrestre.
« Si on doit bloquer la route, on va le bloquer. Si on doit passer la nuit au pont, on va passer la nuit au pont », martèle Aboubacar Camara leur porte-parole.
Cette colère des dockers et autres partisans du transport par voie maritime contraste avec la joie des transporteurs qui salut cette décision de levée d’interdiction.
« C’est un avantage absolu qui conserve de produire toute la transgambienne de Ziguinchor à Dakar. Parce que si vous voyez le nombre de camions qui stationne à Ziguinchor, le bénéfique que la population en gagne, est important. Parce que les restaurants marchent, les populations, les dockers tous en bénéficient. Il y a aussi le prix qui devient plus moyen », confie Thierno Ba, secrétaire général du regroupement et transporteurs de Ziguinchor, au micro d’Iradio.
Depuis deux ans, les dockers de Ziguinchor (Sud) ont été privés d’activité en raison de problème de navire. Lorsque la reprise du trafic maritime a été annoncée, l’enthousiasme initial a rapidement cédé la place à la frustration. Pour ces dockers, cette décision du ministre de tutelle d’ouvrir la route traduit une volonté d’ouvrir la route au port de Ziguinchor.
« Quand le ministre était venu ici pour dire que maintenant à partir d’aujourd’hui, c’est au port. On a applaudi. Je ne dis pas que les dockers ont applaudi, mais la région. Mais à notre grande surprise, c’est officiel qu’ils ont laissé la route. C’est ce qui nous a étonnés », tonne Moctar Dabo le président des dockers sur Iradio.
D’ailleurs, les acteurs de la filière anacarde qui étaient venus soutenir les dockers dans ce combat, annoncent des actions pour empêcher le transport par voie terrestre.
« Si on doit bloquer la route, on va le bloquer. Si on doit passer la nuit au pont, on va passer la nuit au pont », martèle Aboubacar Camara leur porte-parole.
Cette colère des dockers et autres partisans du transport par voie maritime contraste avec la joie des transporteurs qui salut cette décision de levée d’interdiction.
« C’est un avantage absolu qui conserve de produire toute la transgambienne de Ziguinchor à Dakar. Parce que si vous voyez le nombre de camions qui stationne à Ziguinchor, le bénéfique que la population en gagne, est important. Parce que les restaurants marchent, les populations, les dockers tous en bénéficient. Il y a aussi le prix qui devient plus moyen », confie Thierno Ba, secrétaire général du regroupement et transporteurs de Ziguinchor, au micro d’Iradio.
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