Le leader de la liste Pastef a accompli son devoir citoyen à 8h30 ce matin, au centre de vote de l’école des filles des HLM Néma, à Ziguinchor. Après avoir quitté son bureau de vote, l’ancien maire de Ziguinchor a réagi aux premières heures du scrutin.
« Comme d'habitude, nous avons accompli ce devoir citoyen. Habituellement, nous votons un peu plus tard, vers midi. Aujourd'hui, j'ai choisi de venir plus tôt pour encourager les citoyens à sortir massivement voter. En effet, on constate que le taux de participation est généralement plus faible lors des législatives. Ces élections sont aussi importantes que celles du 24 mars 2024 », a déclaré Ousmane Sonko.
Le leader de Pastef a également souligné que les Sénégalais seraient les seuls perdants si le processus électoral ne se déroulait pas dans le calme. « Dans tous les cas, nous avons toujours appelé à un vote serein. La démocratie s'exprime dans la paix et la stabilité. Il n’y a pas de place pour la violence en démocratie. Chacun a présenté son programme pendant la campagne, et il appartient aux Sénégalais de choisir librement », a-t-il ajouté.
« Comme d'habitude, nous avons accompli ce devoir citoyen. Habituellement, nous votons un peu plus tard, vers midi. Aujourd'hui, j'ai choisi de venir plus tôt pour encourager les citoyens à sortir massivement voter. En effet, on constate que le taux de participation est généralement plus faible lors des législatives. Ces élections sont aussi importantes que celles du 24 mars 2024 », a déclaré Ousmane Sonko.
Le leader de Pastef a également souligné que les Sénégalais seraient les seuls perdants si le processus électoral ne se déroulait pas dans le calme. « Dans tous les cas, nous avons toujours appelé à un vote serein. La démocratie s'exprime dans la paix et la stabilité. Il n’y a pas de place pour la violence en démocratie. Chacun a présenté son programme pendant la campagne, et il appartient aux Sénégalais de choisir librement », a-t-il ajouté.
Autres articles
-
Visite officielle en Gambie : les engagements d’Ousmane Sonko pour le lycée sénégalais de Banjul
-
Affaire Barthélémy Dias : Abdoulaye Diouf Sarr déplore l’arbitrage judiciaire dans les affaires politiques
-
Abdoulaye Diouf Sarr : « mon nom n'a jamais été cité dans le rapport de la Cour des comptes »
-
Coopération Sénégal-Gambie : La Commission conjointe renaît après 13 ans de pause
-
Loi de Finances Rectificative 2024 : un nouveau déficit et des emprunts élevés, selon Arona Oumar Kane