Cela s'est passé le 30 décembre 2006 à Sindian, le village natal de l'homme politique sis dans le département de Bignona. Un groupe d’hommes armés fusillent El Hadj Omar Badji qui s'y était rendu pour célébrer la fête musulmane de la Tabaski.
N'ayant eu de cesse de réclamer la justice depuis lors, la famille et certains proches du défunt constatent que la tenue du procés tout comme l'indemnisation n'avancent guère.
En effet, sous l’ère Abdoulaye Wade, un des fils aînés de feu l’affaire El Hadji Omar Lamine Badji, avait dans le cadre d'une démarche administrative, interpellé plusieurs ministres sur la question.
Mais ces derniers lui ont toujours fait savoir que le dossier est en cours au moment où le principal suspect, Abba Diédhiou, membre du Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance (MFDC) est mort dans des conditions mystérieuses entre les mains des gendarmes en charge de l'enquête.
Face à cette impasse, ils réclament au moins justice sept ans après à défaut d’avoir la vérité, livre le journal "libération".
N'ayant eu de cesse de réclamer la justice depuis lors, la famille et certains proches du défunt constatent que la tenue du procés tout comme l'indemnisation n'avancent guère.
En effet, sous l’ère Abdoulaye Wade, un des fils aînés de feu l’affaire El Hadji Omar Lamine Badji, avait dans le cadre d'une démarche administrative, interpellé plusieurs ministres sur la question.
Mais ces derniers lui ont toujours fait savoir que le dossier est en cours au moment où le principal suspect, Abba Diédhiou, membre du Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance (MFDC) est mort dans des conditions mystérieuses entre les mains des gendarmes en charge de l'enquête.
Face à cette impasse, ils réclament au moins justice sept ans après à défaut d’avoir la vérité, livre le journal "libération".