"La France jugera ce gouvernement sur ses actes, au premier chef sur la libération des opposants et militants des droits de l'Homme emprisonnés, en particulier Mme Jestina Mukoko, et sur d'autres signes positifs dans le domaine de la gouvernance et le rétablissement de l'Etat de droit", a fait savoir le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué diffusé vendredi soir. "Dans ce cadre, la France se dit prête à accompagner les efforts qui seront faits par ce gouvernement en faveur de la santé et du développement de la population zimbabwéenne."
Jestina Mukoko est une militante des droits de l'Homme, dirigeante de l'organisation non gouvernementale respectée Zimbabwe Peace Project.
Le Quai d'Orsay souligne par ailleurs que "la formation d'un gouvernement d'union constitue une tentative de sortie de crise porteuse d'espoir qui ne sera toutefois couronnée de succès que si Robert Mugabe et la ZANU-PF appliquent l'accord du 15 septembre de bonne foi et coopèrent avec le Premier ministre dans sa stratégie et sa volonté de réforme et pour l'organisation d'élections démocratiques". AP
Source : AP
Jestina Mukoko est une militante des droits de l'Homme, dirigeante de l'organisation non gouvernementale respectée Zimbabwe Peace Project.
Le Quai d'Orsay souligne par ailleurs que "la formation d'un gouvernement d'union constitue une tentative de sortie de crise porteuse d'espoir qui ne sera toutefois couronnée de succès que si Robert Mugabe et la ZANU-PF appliquent l'accord du 15 septembre de bonne foi et coopèrent avec le Premier ministre dans sa stratégie et sa volonté de réforme et pour l'organisation d'élections démocratiques". AP
Source : AP
Autres articles
-
Côte d'Ivoire: Tidjane Thiam auprès de ses partisans pour célébrer sa première année à la tête du PDCI
-
Tchad : le Président Mahamat Idriss Déby promu maréchal
-
Mali: 26 personnes tuées dans des attaques jihadistes près de Bandiagara
-
Le Burkina Faso adopte une loi d’amnistie pour les auteurs du putsch de 2015
-
Guerre au Soudan: plus de 780 civils tués par des paramilitaires à El-Fasher, selon l'ONU