La Fédération Sénégalaise de Football a rejeté tout bonnement la demande de la Présidence de la République de surseoir à l’audition de Monsieur Diouf, prévue le mercredi 20 juillet 2011. L’instance dirigeante du football sénégalais se veut clair. Elle «ne saurait tolérer aucune immixtion, ni ingérence tant externe qu’interne dans la procédure déclenchée en toute responsabilité par la commission de discipline fédérale dans le strict respect des droits de la personne concernée».
Dans un communiqué reçu à la rédaction de Pressafrik.com, la FSF précise que: «la commission de discipline conformément aux articles 59, 60 des statuts et 83, 84 du code disciplinaire est une commission autonome qui a un pouvoir d’auto saisine pour tous faits ou actes émanant d’un de ses membres (clubs, ligues, officiels ou joueurs) jugés contraires aux statuts, codes d’éthique et de discipline de la FSF, de la CAF et de la FIFA, de même qu’aux règlements intérieurs des Equipes nationales, en ce qui concerne les joueurs internationaux».
Selon le document, l’indépendance des instances disciplinaires du football sénégalais a été l’un des acquis majeurs des nouveaux statuts de la FSF, adoptés à l’unanimité par l’ensemble du mouvement du football au sortir d’une crise encore suffisamment récente pour que l’on n’ait pas oublié ses origines et surtout ses conséquences désastreuses sur notre football.
Sous ce regard, la Fédération Sénégalaise de Football tient à réitérer son attachement aux valeurs qui ont présidé à l’instauration d’une nouvelle dynamique saluée par tous les sénégalais et ne saurait donc transiger sur les questions de discipline, de respect de l’autorité tant sportive qu’étatique, de la considération due à l’ensemble des composantes du football et du monde sportif.
Dans un communiqué reçu à la rédaction de Pressafrik.com, la FSF précise que: «la commission de discipline conformément aux articles 59, 60 des statuts et 83, 84 du code disciplinaire est une commission autonome qui a un pouvoir d’auto saisine pour tous faits ou actes émanant d’un de ses membres (clubs, ligues, officiels ou joueurs) jugés contraires aux statuts, codes d’éthique et de discipline de la FSF, de la CAF et de la FIFA, de même qu’aux règlements intérieurs des Equipes nationales, en ce qui concerne les joueurs internationaux».
Selon le document, l’indépendance des instances disciplinaires du football sénégalais a été l’un des acquis majeurs des nouveaux statuts de la FSF, adoptés à l’unanimité par l’ensemble du mouvement du football au sortir d’une crise encore suffisamment récente pour que l’on n’ait pas oublié ses origines et surtout ses conséquences désastreuses sur notre football.
Sous ce regard, la Fédération Sénégalaise de Football tient à réitérer son attachement aux valeurs qui ont présidé à l’instauration d’une nouvelle dynamique saluée par tous les sénégalais et ne saurait donc transiger sur les questions de discipline, de respect de l’autorité tant sportive qu’étatique, de la considération due à l’ensemble des composantes du football et du monde sportif.
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