Des coalitions de l'opposition sont dans la tourmente entre trahison et irrecevabilité de leurs listes. Chose qui fait réagir l'ancien député Cheikh Oumar Sy qui pointe la responsabilité de tout un chacun dans une note publiée sur sa page Facebook intitulée "entre rejets arbitraires et objets, les responsabilités sont partagées".
D'emblée, le parlementaire fait savoir que la confection des listes pour les élections locales "n'ont jamais été une chose facile." Se rappelant en 2014, sa liste qui a failli être forclose par "inexpérience technique et surtout par manque de maîtrise du processus électoral."
Raison pour laquelle cette fois-ci, il a pris les précautions de commencer "les investitures 6 jours avant l'ouverture des dépôts des listes. Cela nous a pris quatre jours pour techniquement rassemblée les CNI, les légaliser, faire la saisie des informations et 2 jours pour les vérifications finales. Nous avions une équipe de plus de 8 personnes. 5 ordinateurs, 4 imprimantes et du café en permanence."
Et malgré toutes les précautions, informe Cheikh Oumar Sy " il a été décelé des erreurs à une heure du dépôt de la liste de notre coalition."
Donc : "au-delà des rejets arbitraires qu'il faut dénoncer, les candidats à la candidature ont subi la pression en attendant la décision finale des commissions d'arbitrage des différentes citations dont les résultats sont tombés 48h avant la clôture des listes créant ainsi un brande bas énorme et une série de frustrations avec des conséquences néfastes dans la confection des listes."
Ce qui fait que, note-t-il, "Dans des délais très courts ( le lundi étant férié pour les légalisation), les candidats se sont rués, la plupart sans expérience et sans formation, tête baissée dans la confection des listes oubliant qu'avec les nouvelles CNI, les filiations des parents n'y figuraient pas. Une énorme contrainte à 12h de la clôture des dépôts."
Cependant, "Si on a en face de soi on a un appareil d'état capable de vous jouer des tours, il faut toujours se prémunir à l'avance et les leaders de coalition doivent objectivement reconnaître qu'ils ont indirectement participé à la forclusion d'une bonne partie de leurs candidats n'ayant pas pu gérer les conflits très tôt. A leur corps défendant, la gestion des "Grandes" coalitions n'est pas chose facile."
Cheikh Oumar Sy déplore "la lâcheté des mandataires, comme celui de Matam, qui ont délibérément participé à la forclusion des listes de coalitions de l'opposition (YAW plus particulièrement) avec la complicité de certaines autorités ou adversaires politiques. Une compétition, peu importe laquelle, est avant tout une affaire de gentlemen et de fair-play. Il faudra, dans l'avenir, prévoir des sanctions contre des actes aussi peu orthodoxes."
D'emblée, le parlementaire fait savoir que la confection des listes pour les élections locales "n'ont jamais été une chose facile." Se rappelant en 2014, sa liste qui a failli être forclose par "inexpérience technique et surtout par manque de maîtrise du processus électoral."
Raison pour laquelle cette fois-ci, il a pris les précautions de commencer "les investitures 6 jours avant l'ouverture des dépôts des listes. Cela nous a pris quatre jours pour techniquement rassemblée les CNI, les légaliser, faire la saisie des informations et 2 jours pour les vérifications finales. Nous avions une équipe de plus de 8 personnes. 5 ordinateurs, 4 imprimantes et du café en permanence."
Et malgré toutes les précautions, informe Cheikh Oumar Sy " il a été décelé des erreurs à une heure du dépôt de la liste de notre coalition."
Donc : "au-delà des rejets arbitraires qu'il faut dénoncer, les candidats à la candidature ont subi la pression en attendant la décision finale des commissions d'arbitrage des différentes citations dont les résultats sont tombés 48h avant la clôture des listes créant ainsi un brande bas énorme et une série de frustrations avec des conséquences néfastes dans la confection des listes."
Ce qui fait que, note-t-il, "Dans des délais très courts ( le lundi étant férié pour les légalisation), les candidats se sont rués, la plupart sans expérience et sans formation, tête baissée dans la confection des listes oubliant qu'avec les nouvelles CNI, les filiations des parents n'y figuraient pas. Une énorme contrainte à 12h de la clôture des dépôts."
Cependant, "Si on a en face de soi on a un appareil d'état capable de vous jouer des tours, il faut toujours se prémunir à l'avance et les leaders de coalition doivent objectivement reconnaître qu'ils ont indirectement participé à la forclusion d'une bonne partie de leurs candidats n'ayant pas pu gérer les conflits très tôt. A leur corps défendant, la gestion des "Grandes" coalitions n'est pas chose facile."
Cheikh Oumar Sy déplore "la lâcheté des mandataires, comme celui de Matam, qui ont délibérément participé à la forclusion des listes de coalitions de l'opposition (YAW plus particulièrement) avec la complicité de certaines autorités ou adversaires politiques. Une compétition, peu importe laquelle, est avant tout une affaire de gentlemen et de fair-play. Il faudra, dans l'avenir, prévoir des sanctions contre des actes aussi peu orthodoxes."
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