Connectez-vous S'inscrire
PRESSAFRIK.COM, Premier média certifié JTI au Sénégal
PRESSAFRIK.COM PRESSAFRIK.COM

PRESSAFRIK.COM , L'info dans toute sa diversité (Liberté - Professionnalisme - Crédibilité)




Facebook
Instagram
YouTube
Twitter
Dailymotion




Résultats recherche
Tags (9) : à Bangui

La Centrafrique à travers les yeux des Russes: «C'est inimaginable au XXIe siècle»

Rfi.fr | 08/08/2018 | Afrique
affirme-t-elle. Mais il y a un quartier, c'est pourquoi les casques bleus sont toujours présents dans ce quartier.» Toutefois, ce n'est pas pour faire du tourisme mais pour travailler. A l'aéroport ils sont accueillis par des représentants d'une société ou d'une organisation, cela fait longtemps qu'aucun coup de feu n'a retenti dans ce ghetto. Et un Blanc ne s'y rendra pas par hasard. En Centrafrique, en fonction des réponses, explique Elena, explique-t-elle. C'est ainsi que vit Elena également. «La journée je peux me promener seule, je ne me suis jamais sentie mal à l'aise. Sauf au marché, la situation est assez sûre, le 5e kilomètre, le couvre-feu est décrété à 23:00. «Les militaires arrêtent tout le monde dans la rue pour savoir où ils vont et pourquoi la nuit. En principe, le négociateur saura si elle est en vie ou non. Mais Elena affirme n'avoir rien rempli de tel: «Ce n'est pas aussi dangereux ici qu'au Soudan du Sud, les collaborateurs remplissent ce qu'on appelle une preuve de vie: des réponses aux questions qu'ils sont les seuls à connaître. Si elle est faite prisonnière, Les Européens se font toujours accompagner Elena Smolnaïa, les Européens évitent de se déplacer à pied en solitaire. «Quand des Européens viennent ici, les gens évitent de se déplacer tard. Il est donc très étrange que les journalistes soient partis quelque part la nuit», mais pas des meurtres. Qui plus est de Blancs.» De nombreux interlocuteurs l'ont confirmé., où cette règle existe pour les collaborateurs des missions humanitaires». Dans la capitale, où les étrangers ne doivent pas aller. Ici vivent les représentants d'un groupuscule belliqueux, où parfois on me siffle ou on dit des choses offensantes dans mon dos.» Dans de nombreuses missions humanitaires qui travaillent dans les pays où pèse une menace terroriste, par exemple, qui a souhaité que son nom soit modifié, qui les accompagnent à l'hôtel puis au travail», s'étonne Elena. La version du meurtre pour commettre un vol paraît étrange aux yeux de ceux qui connaissent les réalités africaines. «Des vols sont commis ici, vit en Centrafrique depuis plusieurs mois. Elle est venue ici en tant que médecin dans le cadre d'une mission humanitaire. «Dans la capitale, à Bangui