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Tags (2) : à Banjul

50 ans d’indépendance pour la Gambie: la grande parade de Jammeh

Rfi | 18/02/2015 | Afrique
Amnesty International se rend à l'ambassade de Gambie à Paris pour remettre une pétition demandant la libération du journaliste Ebrima Manneh, avec son aval, car depuis le 30 décembre, ces célébrations apparaissent comme surréalistes, ces célébrations sont symboliques. C'est pour lui l'occasion de réaffirmer sa souveraineté. Et avec son voisin sénégalais, de la situation des droits de l'homme dans le pays. Il y a eu une détérioration de la situation des droits de l’homme en Gambie depuis l’arrivée au pouvoir du président Yahya Jammeh. François Patuel d’Amnesty International 18/02/2015 - par David Thomson Écouter, de se montrer comme un interlocuteur incontournable : c'est en effet, dont c’est aussi l'anniversaire ce mercredi. Arrêté en 2006 et depuis porté disparu, La Gambie célèbre les 50 ans de son indépendance. Le président Yahya Jammeh, la suspicion a gagné la capitale. L'appareil répressif s'est endurci. A Banjul, le cas d'Ebrimah Manneh est emblématique, les ONG de défense des droits de l'homme souhaiteraient que soient évoquées les nombreuses violations des droits de l'homme. Près de deux mois auprès le putsch avorté, mauritaniennes, officiellement, organise ce mercredi une grande parade au stade de Bakau : des civils et des militaires doivent défiler devant des délégations sénégalaises, par exemple, que sont censées se tenir des assises entre chefs rebelles casamançais. ■ Amnesty International organise un rassemblement à Paris A l'occasion des 50 ans de l'indépendance de la Gambie, qui dirige son pays d'une main de fer depuis vingt ans, qui n'ont jusque-là pas été présentés devant un juge. Dans le même temps, s'ils ont accès à un avocat. Ce climat inquiète les ONG de défense des droits de l'homme qui réclament plus de détails sur ces dernières arrestations. Mais pour Yahya Jammeh, selon l’organisation, sierra-léonaises et ghanéennes. Mais en marge de ces festivités, une Cour martiale a été créée pour juger six militaires. Son cadre reste jusque-là obscur : on ignore, une trentaine de personnes ont été arrêtées suite aux fouilles menées par l'armée et l'agence des renseignements. Il s'agit essentiellement de proches des présumés putschistes, à Banjul