Ce qu'il faut retenir :
► L’armée israélienne a déclaré mercredi matin avoir bombardé un dépôt d’armes souterrain du Hezbollah dissimulé sous un immeuble de la banlieue sud de Beyrouth. L'aviation a également lancé une dizaine de frappes sur la ville de Nabatieh, dans le sud du Liban, la gouverneure évoquant une « ceinture de feu » autour de la ville et plusieurs victimes, dont le maire.
► Benyamin Netanyahu a affirmé qu’Israël continuerait « à frapper sans pitié le Hezbollah » partout au Liban. Le Premier ministre israélien se serait par ailleurs engagé auprès de Washington à ne pas frapper d'installations nucléaires en Iran, mais uniquement des sites militaires. Mais il a aussi assuré que la riposte contre le régime de Téhéran se ferait en fonction de « l'intérêt national » d'Israël.
► Le numéro deux du Hezbollah libanais Naïm Qassem s'est adressé mardi aux Israéliens, affirmant que « la solution est un cessez-le-feu », et a menacé, sinon, de frapper « partout » en Israël. Les horaires sont en temps universel TU (Paris - 2h),
8h35 : le bilan à Qana s'élève à 15 morts
Le bilan de l'attaque israélienne sur la ville de Qana, dans le sud du Liban, s'est alourdi à 15 morts, selon la défense civile libanaise. Au moins 15 autres personnes ont été blessées. L'armée israélienne n'a pas commenté dans l'immédiat cette attaque survenue tard dans la journée de mardi.
8h20 : le Crif s'émeut de propos de Macron en Conseil des ministres
Le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) s'est ému mardi soir de propos attribués au président Emmanuel Macron en Conseil des ministres sur le rôle de l'ONU dans la création de l'État d'Israël. « Les propos attribués au président de la République, s'ils sont confirmés, sont une faute à la fois historique et politique », a écrit Yonathan Arfi dans un message sur X.
Selon des propos rapportés par des participants au Conseil des ministres, mardi, Emmanuel Macron a estimé que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu ne devait pas « s'affranchir des décisions de l'ONU », en soulignant que c'est une « décision de l'ONU » qui a « créé » l'État d'Israël. Une référence à la résolution 181 adoptée en novembre 1947 par l'Assemblée générale des Nations unies. Des propos qui ont fait réagir le Premier ministre israélien.
► L’armée israélienne a déclaré mercredi matin avoir bombardé un dépôt d’armes souterrain du Hezbollah dissimulé sous un immeuble de la banlieue sud de Beyrouth. L'aviation a également lancé une dizaine de frappes sur la ville de Nabatieh, dans le sud du Liban, la gouverneure évoquant une « ceinture de feu » autour de la ville et plusieurs victimes, dont le maire.
► Benyamin Netanyahu a affirmé qu’Israël continuerait « à frapper sans pitié le Hezbollah » partout au Liban. Le Premier ministre israélien se serait par ailleurs engagé auprès de Washington à ne pas frapper d'installations nucléaires en Iran, mais uniquement des sites militaires. Mais il a aussi assuré que la riposte contre le régime de Téhéran se ferait en fonction de « l'intérêt national » d'Israël.
► Le numéro deux du Hezbollah libanais Naïm Qassem s'est adressé mardi aux Israéliens, affirmant que « la solution est un cessez-le-feu », et a menacé, sinon, de frapper « partout » en Israël.
► Dans la bande de Gaza, un bombardement israélien dans la cour de l’hôpital des Martyrs d’al-Aqsa à Deir al-Balah, où vivaient des déplacés, a tué au moins quatre personnes mardi. Un autre bombardement a touché un centre de distribution d’aide humanitaire dans le camp de réfugiés de Jabaliya, cette fois dans le nord de l'enclave palestinienne, tuant au moins dix personnes.
8h35 : le bilan à Qana s'élève à 15 morts
Le bilan de l'attaque israélienne sur la ville de Qana, dans le sud du Liban, s'est alourdi à 15 morts, selon la défense civile libanaise. Au moins 15 autres personnes ont été blessées. L'armée israélienne n'a pas commenté dans l'immédiat cette attaque survenue tard dans la journée de mardi.
8h20 : le Crif s'émeut de propos de Macron en Conseil des ministres
Le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) s'est ému mardi soir de propos attribués au président Emmanuel Macron en Conseil des ministres sur le rôle de l'ONU dans la création de l'État d'Israël. « Les propos attribués au président de la République, s'ils sont confirmés, sont une faute à la fois historique et politique », a écrit Yonathan Arfi dans un message sur X.
Selon des propos rapportés par des participants au Conseil des ministres, mardi, Emmanuel Macron a estimé que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu ne devait pas « s'affranchir des décisions de l'ONU », en soulignant que c'est une « décision de l'ONU » qui a « créé » l'État d'Israël. Une référence à la résolution 181 adoptée en novembre 1947 par l'Assemblée générale des Nations unies. Des propos qui ont fait réagir le Premier ministre israélien.
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