Les négociations autour du nouveau code électoral semblaient bien parties pour aboutir à un consensus. Pourtant, la cérémonie de signature du protocole d’accord entre l’opposition et le pouvoir, le 16 février, s’est soldée par un échec. « Il n’y a pas de signature », a tranché, sans explication, le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly, devant des responsables de premier plan de l’opposition, stupéfaits.
Sur les huit thèmes principaux au centre des discussions entre le pouvoir, l’opposition et la société civile, quatre n’ont abouti à aucun accord. Parmi eux, le financement sur fonds publics des campagnes électorales et l’épineuse question de la Commission électorale indépendante (CEI), sur laquelle le gouvernement refuse de revenir.
Comme lors du premier tour des négociations sur la CEI – qui avait abouti, en juin, à une réforme contestée de la Commission par une importante partie de l’opposition et de la société civile -, le président Alassane Ouattara devrait tout de même valider un document tenant compte des observations et envoyer un projet de loi au parlement, dominé par le parti présidentiel du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP).
Sur les huit thèmes principaux au centre des discussions entre le pouvoir, l’opposition et la société civile, quatre n’ont abouti à aucun accord. Parmi eux, le financement sur fonds publics des campagnes électorales et l’épineuse question de la Commission électorale indépendante (CEI), sur laquelle le gouvernement refuse de revenir.
Comme lors du premier tour des négociations sur la CEI – qui avait abouti, en juin, à une réforme contestée de la Commission par une importante partie de l’opposition et de la société civile -, le président Alassane Ouattara devrait tout de même valider un document tenant compte des observations et envoyer un projet de loi au parlement, dominé par le parti présidentiel du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP).
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