Si les élections au suffrage universel direct du maire et du président du conseil départemental sont actées par les représentants du pouvoir, de l’opposition et des « non alignés » réunis au sein de la Commission politique du Dialogue national, ces acteurs butent sur des points importants. Il s’agit de l’élection des adjoints au maire et de la question du bulletin unique. Sur ces deux points, la majorité, l’opposition et les « non-alignés » ne parlent pas encore le même langage.
Ce constat d’échec a été fait jeudi 19 septembre, lors de la réunion de la Commission politique du Dialogue nationale présidée par l’ancien ministre de l’Intérieur, le général Mamadou Niang. Sur l’élection des adjoints au maire, d’aucuns avaient souhaité que tout le bureau municipal soit élu au suffrage universel direct. D’autres acteurs politiques souhaitent que le bureau municipal élise les adjoints au maire. C’est le mode d’élection qui prévaut actuellement mais qui n’agrée guère des acteurs politiques issus des trois pôles.
Selon eux, cela équivaudrait à détourner les suffrages des populations du fait que les conseillers municipaux vont faire dans la manipulation et le détournement de la volonté populaire. L’autre point du désaccord concerne le bulletin unique. Les acteurs ont discuté ce jeudi des avantages, forces et faiblesses du bulletin unique qui permettrait de garantir la transparence du vote, l’économie de papier, le gain économique et de temps sur les listes. A ce niveau, informe le journal "Le Témoin", c’est la majorité qui s’oppose au bulletin unique. Une proposition semble devoir s’imposer qui consiste à retenir le bulletin unique pour la présidentielle et le bulletin multiple pour les locales et les législatives.
Aucun consensus n’ayant été trouvé sur ces deux points, les acteurs politiques vont continuer les concertations. Ils veulent aboutir à un accord sur ces points de blocage pour que les débats sur le parrainage et le statut du chef de l’opposition puissent s’ouvrir rapidement.
Ce constat d’échec a été fait jeudi 19 septembre, lors de la réunion de la Commission politique du Dialogue nationale présidée par l’ancien ministre de l’Intérieur, le général Mamadou Niang. Sur l’élection des adjoints au maire, d’aucuns avaient souhaité que tout le bureau municipal soit élu au suffrage universel direct. D’autres acteurs politiques souhaitent que le bureau municipal élise les adjoints au maire. C’est le mode d’élection qui prévaut actuellement mais qui n’agrée guère des acteurs politiques issus des trois pôles.
Selon eux, cela équivaudrait à détourner les suffrages des populations du fait que les conseillers municipaux vont faire dans la manipulation et le détournement de la volonté populaire. L’autre point du désaccord concerne le bulletin unique. Les acteurs ont discuté ce jeudi des avantages, forces et faiblesses du bulletin unique qui permettrait de garantir la transparence du vote, l’économie de papier, le gain économique et de temps sur les listes. A ce niveau, informe le journal "Le Témoin", c’est la majorité qui s’oppose au bulletin unique. Une proposition semble devoir s’imposer qui consiste à retenir le bulletin unique pour la présidentielle et le bulletin multiple pour les locales et les législatives.
Aucun consensus n’ayant été trouvé sur ces deux points, les acteurs politiques vont continuer les concertations. Ils veulent aboutir à un accord sur ces points de blocage pour que les débats sur le parrainage et le statut du chef de l’opposition puissent s’ouvrir rapidement.
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