"Au début, j’ai pensé à la mise en place du club « les intellectuels pour le développement et l’excellence du Sénégal » ou « club des idées » dans le but d’écrire un livre de réflexion commune avec un certain nombre d’amis. Mais cela n’a pas pu se réaliser, précise Pierre Goudiaby Atépa pour qui, "il faut réfléchir sur le Sénégal de demain, voir le Sénégal émergent dans 10 ou 12 ans.
Il est donc nécessaire de résoudre les problèmes énergétiques pour attirer les entreprises étrangères avec le soleil que nous avons toute l’année et qui nous nous offre une opportunité extraordinaire selon lui.
Partant du principe qu'il faut « oser entreprendre avec audace » l’architecte pense que "dans ce cadre là, il faut toujours aspirer à être le meilleur et croire en soi".
Il faut aussi "savoir tirer leçon de nos échecs tout en s’appuyant sur nos réussites pour encore « Oser » d'autant plus que les fameuses « Sky ‘s the limit » et « Yes we can » en sont une parfaite illustration.
Pierre Goudiaby Atépa qui poursuit en évoquant qu’"il est temps aujourd’hui de cultiver ce qu’il est convenu d’appeler le patriotisme économique", précise par ailleurs que "ce concept n’est rien d’autre que la défense des intérêts de son pays".
"Il nous faut aussi une bonne privatisation qui met en avant les intérêts nationaux et en ce qui concerne la révolution numérique, les TIC sont un moyen pour l’Afrique de résorber le gap du progrès. Les jeunes du Sénégal et de l’Afrique ne doivent plus être une charge pour leur pays, ils doivent être la locomotive de l’économie de leurs pays. Et ce, en osant l'anglais comme langue officielle", car exhorte-t-il "le réalisme politique et le panafricanisme inclinent aujourd’hui à donner une place plus importante à l’anglais aussi bien dans l’éducation que dans la production audiovisuelle de notre pays".
Dans cette oeuvre, l'architecte n'a pas manqué d'évoquer qu’il faut « oser un service militaire civique obligatoire, oser une urbanisation nouvelle et une nouvelle décentralisation, la bonne gouvernance, oser ensemble avec la diaspora l’agriculture autrement, oser un nouveau pacte social ».
Pour terminer ces propos, le fils de Baïla invite ses concitoyens à "plus d’audace pour participer à l’éducation du Sénégal propre".
Il est donc nécessaire de résoudre les problèmes énergétiques pour attirer les entreprises étrangères avec le soleil que nous avons toute l’année et qui nous nous offre une opportunité extraordinaire selon lui.
Partant du principe qu'il faut « oser entreprendre avec audace » l’architecte pense que "dans ce cadre là, il faut toujours aspirer à être le meilleur et croire en soi".
Il faut aussi "savoir tirer leçon de nos échecs tout en s’appuyant sur nos réussites pour encore « Oser » d'autant plus que les fameuses « Sky ‘s the limit » et « Yes we can » en sont une parfaite illustration.
Pierre Goudiaby Atépa qui poursuit en évoquant qu’"il est temps aujourd’hui de cultiver ce qu’il est convenu d’appeler le patriotisme économique", précise par ailleurs que "ce concept n’est rien d’autre que la défense des intérêts de son pays".
"Il nous faut aussi une bonne privatisation qui met en avant les intérêts nationaux et en ce qui concerne la révolution numérique, les TIC sont un moyen pour l’Afrique de résorber le gap du progrès. Les jeunes du Sénégal et de l’Afrique ne doivent plus être une charge pour leur pays, ils doivent être la locomotive de l’économie de leurs pays. Et ce, en osant l'anglais comme langue officielle", car exhorte-t-il "le réalisme politique et le panafricanisme inclinent aujourd’hui à donner une place plus importante à l’anglais aussi bien dans l’éducation que dans la production audiovisuelle de notre pays".
Dans cette oeuvre, l'architecte n'a pas manqué d'évoquer qu’il faut « oser un service militaire civique obligatoire, oser une urbanisation nouvelle et une nouvelle décentralisation, la bonne gouvernance, oser ensemble avec la diaspora l’agriculture autrement, oser un nouveau pacte social ».
Pour terminer ces propos, le fils de Baïla invite ses concitoyens à "plus d’audace pour participer à l’éducation du Sénégal propre".
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