Le Ministre des Finances et du Budget a apporté des éléments de réponses à certaines interpellations spécifiques. Sur le plaidoyer pour l'augmentation du budget, il a fait noter que les crédits du secteur du Pétrole et des Energies sont assez conséquents. S’adressant au Député Cheikh Mbacké, le ministre lui a signifié que beaucoup de progrès ont été fait. Il l’invite à arrêter de rappeler l'histoire avant de lui préciser qu’en 2011 le taux de croissance était de 1,7%.
« A le titre illustratif, le budget de cette année est estimé à 231 milliards F CFA contre 210 milliards F CFA, l'année dernière, soit une hausse de près de 22 milliards F CFA. De plus, avec la hausse généralisée des prix de l'énergie, notamment le prix du baril du pétrole, la subvention à l'énergie estimée à 150 milliards F CFA sera certainement réajustée, en cours de gestion. L'ancrage du FSE au niveau du Ministère du Pétrole et des Energies répond à une logique du budget-programme. Pour la cellule genre, le budget de 10 millions F CFA affiché, est destinés au fonctionnement de la cellule. Globalement, pour 2022, le budget de la cellule genre est estimé à presque 700 millions de FCFA », a indiqué le ministre.
Répondant aux inquiétudes de Cheikh Mbacké, Abdoulaye Daouda Diallo note qu’il y a eu beaucoup de progrès sur la production d’électricité actuellement contrairement en 2011 où la production était de 1,7%. « Cheikh, je ne sais pas où vous étiez en 2011. C'est surprenant de la part surtout de l'opposition et qui a fait parti de ce régime. Nous savons ce qui s'est passé. Sur ce, je voudrais rappeler qu'en 2011, on avait une production qui était très très insuffisante. En 2011, on avait 38 jours de coupure d'électricité, 911 heures exactement. Nous avons tout payé durant les 38 jours. Le plan takal était là, c'est ce qui a plus compliqué la situation. Pourquoi le prix été aussi élevé à un niveau tel qu’il n'était même pas possible d'avoir de la croissance. Ce taux de croissance était à 1,7%. C'est normal parce que les coûts de production dépassée les 1010 F CFA. Ce coût de production a été divisé par deux aujourd'hui. Actuellement, il est entre 22 et 60 F CFA. Le prix du super était 889 F ça diminué. Le prix du gasoil, c'était à 752 F aujourd'hui nous somme à 655 F », a indiqué le ministre.
Poursuivant, il ajoute : « En matière de production je vous le rappelle encore, on avait 571 MWH. Aujourd'hui, ce produit est multiplié par 4. Nous sommes présentement à 1884 KWh en fin 2020. Il faut accepter qu'il y a des évolutions. On a fait mieux. Il faut l'accepter. Arrêtons de rappeler l'histoire. Nous avant la crise entre 2014 et 2019, on était à un taux de croissance moins de 6 %. Mais le résultat qu'a connu le Sénégal était salué par toute la communauté internationale... Ce qui a fait que le Sénégal a échappé à la récession en 2020. On avait 1,5 %. Nous avons cette production de 5 % cette année 2021 qui est supérieure à la moyenne de l'Afrique au sud du Sahara ».
« A le titre illustratif, le budget de cette année est estimé à 231 milliards F CFA contre 210 milliards F CFA, l'année dernière, soit une hausse de près de 22 milliards F CFA. De plus, avec la hausse généralisée des prix de l'énergie, notamment le prix du baril du pétrole, la subvention à l'énergie estimée à 150 milliards F CFA sera certainement réajustée, en cours de gestion. L'ancrage du FSE au niveau du Ministère du Pétrole et des Energies répond à une logique du budget-programme. Pour la cellule genre, le budget de 10 millions F CFA affiché, est destinés au fonctionnement de la cellule. Globalement, pour 2022, le budget de la cellule genre est estimé à presque 700 millions de FCFA », a indiqué le ministre.
Répondant aux inquiétudes de Cheikh Mbacké, Abdoulaye Daouda Diallo note qu’il y a eu beaucoup de progrès sur la production d’électricité actuellement contrairement en 2011 où la production était de 1,7%. « Cheikh, je ne sais pas où vous étiez en 2011. C'est surprenant de la part surtout de l'opposition et qui a fait parti de ce régime. Nous savons ce qui s'est passé. Sur ce, je voudrais rappeler qu'en 2011, on avait une production qui était très très insuffisante. En 2011, on avait 38 jours de coupure d'électricité, 911 heures exactement. Nous avons tout payé durant les 38 jours. Le plan takal était là, c'est ce qui a plus compliqué la situation. Pourquoi le prix été aussi élevé à un niveau tel qu’il n'était même pas possible d'avoir de la croissance. Ce taux de croissance était à 1,7%. C'est normal parce que les coûts de production dépassée les 1010 F CFA. Ce coût de production a été divisé par deux aujourd'hui. Actuellement, il est entre 22 et 60 F CFA. Le prix du super était 889 F ça diminué. Le prix du gasoil, c'était à 752 F aujourd'hui nous somme à 655 F », a indiqué le ministre.
Poursuivant, il ajoute : « En matière de production je vous le rappelle encore, on avait 571 MWH. Aujourd'hui, ce produit est multiplié par 4. Nous sommes présentement à 1884 KWh en fin 2020. Il faut accepter qu'il y a des évolutions. On a fait mieux. Il faut l'accepter. Arrêtons de rappeler l'histoire. Nous avant la crise entre 2014 et 2019, on était à un taux de croissance moins de 6 %. Mais le résultat qu'a connu le Sénégal était salué par toute la communauté internationale... Ce qui a fait que le Sénégal a échappé à la récession en 2020. On avait 1,5 %. Nous avons cette production de 5 % cette année 2021 qui est supérieure à la moyenne de l'Afrique au sud du Sahara ».
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