Le responsable de Rewmi, Abdourahmane Diouf accuse le ministre Mbagnick Ndiaye d’être à l’origine de la remise en cause de leur protocole. « La remise en cause de notre protocole résulte d’une volonté politique forte du ministre de la Communication que l’Artp a la charge (ce qui n’est pas son rôle en l’espèce) de matérialiser avec une décision censée être fondée sur le droit. L’Artp se fait dans cette affaire le bras armé du ministre de la Communication qui agit non pas comme autorité administrative, mais comme militant d’un parti politique », dénonce le responsable de Rewmi qui voit son projet capoter.
« La décision du ministre a annihilé les volontés de participation à la construction d’un tissu économique crédible, car cette radio est en difficulté économique et c’est son ancien directeur qui était à la recherche d’un repreneur », martèle Abdourahmane Diouf. « Il n’y a pas eu de cession. L’article 27 du Code des télécommunications que l’Artp omet de citer est sans objet dans cette affaire et n’est pas applicable. Le changement de capital est expressément prévu par le cahier des charges… », souligne le Rewmiste qui persiste et signe que c’est son appartenance politique qui lui vaut cette situation.
Les seuls motifs de ce problème à ses yeux sont le fait qu’il soit de Rewmi et avec Idrissa Seck. Au-delà de la politisation de l’affaire, cet acte reste, selon le porte-parole de Rewmi, «une spoliation et une menace grave sur les entreprises au Sénégal. Un recul démocratique grave ». Mais Boubacar Khalil Ndiaye, joint au téléphone par « L’As », balais d’un revers de la main les accusations de son partenaire qui parle de politisation du protocole. Selon M. Ndiaye, le ministre de la Communication n’est pas mêlé ni de près ni de loin à cette affaire qui est purement juridique. De l’avis de Boubacar Khalil Ndiaye, sa décision de renoncer au protocole est motivée par le fait que celui-ci viole les textes juridiques en vigueur comme là souligner l’Artp. D’ailleurs, il avait intenté une action judiciaire pour renoncer au protocole et une audience est prévue le 12 octobre.
« La décision du ministre a annihilé les volontés de participation à la construction d’un tissu économique crédible, car cette radio est en difficulté économique et c’est son ancien directeur qui était à la recherche d’un repreneur », martèle Abdourahmane Diouf. « Il n’y a pas eu de cession. L’article 27 du Code des télécommunications que l’Artp omet de citer est sans objet dans cette affaire et n’est pas applicable. Le changement de capital est expressément prévu par le cahier des charges… », souligne le Rewmiste qui persiste et signe que c’est son appartenance politique qui lui vaut cette situation.
Les seuls motifs de ce problème à ses yeux sont le fait qu’il soit de Rewmi et avec Idrissa Seck. Au-delà de la politisation de l’affaire, cet acte reste, selon le porte-parole de Rewmi, «une spoliation et une menace grave sur les entreprises au Sénégal. Un recul démocratique grave ». Mais Boubacar Khalil Ndiaye, joint au téléphone par « L’As », balais d’un revers de la main les accusations de son partenaire qui parle de politisation du protocole. Selon M. Ndiaye, le ministre de la Communication n’est pas mêlé ni de près ni de loin à cette affaire qui est purement juridique. De l’avis de Boubacar Khalil Ndiaye, sa décision de renoncer au protocole est motivée par le fait que celui-ci viole les textes juridiques en vigueur comme là souligner l’Artp. D’ailleurs, il avait intenté une action judiciaire pour renoncer au protocole et une audience est prévue le 12 octobre.
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