Une vingtaine de lycéens ont été déférés au parquet, vendredi pour les délits de dommages sur la propriété d’autrui et rassemblement non autorisé. Depuis le début de l’année scolaire, les élèves manquent de professeurs dans certaines matières, notamment en français. Mercredi dernier, ils ont déposé un préavis de grève pour réclamer en sus de professeurs, l’érection de ralentisseur sur la route qui passe devant le lycée. Dans cette partie du nord du pays, il y a beaucoup de poussière et de nombreux élèves souffrent d’asthme. A chaque fois qu’une voiture passe à vive allure, la poussière envahit les salles de classe.
Hier, ces élèves ont décidé de passer à la vitesse supérieure en barrant la route nationale, en incendiant des pneus et en paralysant le système éducatif. Les potages ne se sont pas limités à ces actes de protestation. Ils ont vandalisé un véhicule d’une société de la place qui passé par là. Car le conducteur a refusé à leur injonction, de s’arrêté et de sortir du véhicule. Le propriétaire a saisi la compagnie de brigade de gendarmerie d’Ourossogui. Sur place, les éléments du Commandant Daouda Thioune ont d’abord tenté de jouer aux bons offices.
Selon « Enquête », les élèves n’ont voulu rien entendre. C’est ainsi que les pandores ont procédé à l’arrestation de 20 lycéens dont une fille. Acheminé dans les locaux de la gendarmerie, ils ont été déférés sur ordre du Procureur de la république de Matam.
Hier, ces élèves ont décidé de passer à la vitesse supérieure en barrant la route nationale, en incendiant des pneus et en paralysant le système éducatif. Les potages ne se sont pas limités à ces actes de protestation. Ils ont vandalisé un véhicule d’une société de la place qui passé par là. Car le conducteur a refusé à leur injonction, de s’arrêté et de sortir du véhicule. Le propriétaire a saisi la compagnie de brigade de gendarmerie d’Ourossogui. Sur place, les éléments du Commandant Daouda Thioune ont d’abord tenté de jouer aux bons offices.
Selon « Enquête », les élèves n’ont voulu rien entendre. C’est ainsi que les pandores ont procédé à l’arrestation de 20 lycéens dont une fille. Acheminé dans les locaux de la gendarmerie, ils ont été déférés sur ordre du Procureur de la république de Matam.
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