Ksi Apakéna de son nom d’artiste a procédé hier au lancement de son nouvel album intitulé «Kayro Kassumay» (la paix). Un lancement suivi d’un panel sur le Thème: «La vision de la jeunesse sur le conflit en Casamance». Une question de la plus haute importance pour le Slameur dont l’album tourne autour d’une paix définitive en Casamance. Une Casamance dit-il qu’« il aime, qu’il adore». Apakéna n’a pas manqué d’interpeller les autorités compétentes tout en dénonçant les dégâts causés par ce conflit qui dure depuis 1982.
Le panel animé le Pr Ibrahima Ama Diémé. Ce dernier est largement revenu sur l’origine du conflit. Selon lui pour qu’ «il ait une paix définitive, il faut mettre le dialogue en avant». «Nous devons mettre le dialogue au premier rang. L’option militaire n’est pas une solution. Le Président Macky Sall a plus de responsabilités dans cette crise. Et même plus que le MFDC (Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance) car c’est le président de tous les Sénégalais». Dans l’entendement du Professeur de Lettres, « aller vers des discutions, c’est accepter l’autre ». Abordant la vision de la jeunesse sur le conflit en Casamance, le panéliste sert que cette frange de la population «a une grande part de responsabilité parce que ce sont eux qui prennent les armes, qui se battent que ce soit du côté du MFDC ou des forces armées du pays». Et malheureusement, poursuit-il, « ce sont ces jeunes qui meurent». Pour le Pr Ibrahima Ama Diémé, c’est à cause des braquages sur les routes occasionnées par ce conflit qui ont conduit la majeure partie des populations à emprunter la voie maritime. Ce qui n’est pas sans conséquences surtout avec le naufrage du bateau le «Joola» et son lourd bilan.
Le panel animé le Pr Ibrahima Ama Diémé. Ce dernier est largement revenu sur l’origine du conflit. Selon lui pour qu’ «il ait une paix définitive, il faut mettre le dialogue en avant». «Nous devons mettre le dialogue au premier rang. L’option militaire n’est pas une solution. Le Président Macky Sall a plus de responsabilités dans cette crise. Et même plus que le MFDC (Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance) car c’est le président de tous les Sénégalais». Dans l’entendement du Professeur de Lettres, « aller vers des discutions, c’est accepter l’autre ». Abordant la vision de la jeunesse sur le conflit en Casamance, le panéliste sert que cette frange de la population «a une grande part de responsabilité parce que ce sont eux qui prennent les armes, qui se battent que ce soit du côté du MFDC ou des forces armées du pays». Et malheureusement, poursuit-il, « ce sont ces jeunes qui meurent». Pour le Pr Ibrahima Ama Diémé, c’est à cause des braquages sur les routes occasionnées par ce conflit qui ont conduit la majeure partie des populations à emprunter la voie maritime. Ce qui n’est pas sans conséquences surtout avec le naufrage du bateau le «Joola» et son lourd bilan.
Autres articles
-
Brésil: l'ex-président Bolsonaro soupçonné de «participation active» à un projet de coup d'État
-
Israël donne son feu vert à la finalisation de l'accord de cessez-le-feu avec le Liban
-
France: le groupe Atos en négociations exclusives avec l'Etat français en vue de lui céder des activités stratégiques
-
Sommet sur les céréales en Ukrain : Ibrahima Lissa Faye de PressAfrik parmi les journalistes africains qui se sont entretenus avec Zelensky
-
Le Hezbollah a tiré 160 drones et missiles vers Israël ce dimanche