Le traitement des données à caractère personnel doit se dérouler «dans le respect des droits, des libertés fondamentales, de la dignité des personnes physiques ». C’est du moins l’avis de la Présidente de la Commission de protection des Données Personnelles (CDP). En point de presse ce matin, Awa Ndiaye étale sa feuille de route: «Une des premières phases de mon programme, d’abord il faut que la CDP soit appropriée par chacun de nous, communiquer largement autour de la CDP, de ses missions, de son mandat, également autour de la loi qui justement institue la CDP et lui donne ses missions. La loi 2008-12 du 25 janvier 2008 qui est une loi pour protéger les données personnelles».
Pour elle, la législation sur les données à caractère personnel s’avère être un instrument de protection générale à l’égard des droits et libertés fondamentaux de la personne.
Pour véhiculer son message à la population, Awa Ndiaye souligne que «cette commission est leur première amie et c’est leur partenaire». « Je veux que la CDP soit vue comme une compagne. Comme j’ai une préoccupation par rapport à un fait quel qu'il soit sur internet, je me rabats sur la CDP pour me renseigner. Comment je peux réagir et qu’est ce que je peux faire ? Comme j’ai un problème avec un opérateur de télécommunication, je vais à la CDP et je pose mon problème», pose-t-elle.
Cette rencontre avec la presse selon elle, "est un moyen de toucher chacun des citoyens et leur dire d'«aller vers la CDP, regarder la loi vous donne des droits par rapport à vos données personnelles. Essayer de respecter cette loi. Et si vous ne les pouvez pas, faite vous accompagner par la CDP".
Avant de rappeler aux responsables de traitement, leurs devoirs dans le cadre de leur travail de collecte, de stockage, de conservation, de modification, de diffusion, de transfert, d’interconnexion, de destruction des données nominatives. Cette structure sensibilise les citoyens sur leurs droits à accepter ou non un traitement de leurs données, être informés, rectifier, supprimer, sanctionner quand c’est illicite ou frauduleux".
«On n’est jamais rassuré. On doit être vigilant. On doit être en éveil, resté attentif aux traitements de nos données personnelles. On doit être attentif lors qu’on rentre sur la toile, sur les réseaux sociaux, sur ce que l’on donne comme information, comme données personnelles, à ce que l’on met à disposition. Et comment ces données pourraient être traitées ? Est-ce qu’elles pourraient être volées, qu’elles pourraient être utilisées de manière frauduleuse », clôt-elle.
Pour elle, la législation sur les données à caractère personnel s’avère être un instrument de protection générale à l’égard des droits et libertés fondamentaux de la personne.
Pour véhiculer son message à la population, Awa Ndiaye souligne que «cette commission est leur première amie et c’est leur partenaire». « Je veux que la CDP soit vue comme une compagne. Comme j’ai une préoccupation par rapport à un fait quel qu'il soit sur internet, je me rabats sur la CDP pour me renseigner. Comment je peux réagir et qu’est ce que je peux faire ? Comme j’ai un problème avec un opérateur de télécommunication, je vais à la CDP et je pose mon problème», pose-t-elle.
Cette rencontre avec la presse selon elle, "est un moyen de toucher chacun des citoyens et leur dire d'«aller vers la CDP, regarder la loi vous donne des droits par rapport à vos données personnelles. Essayer de respecter cette loi. Et si vous ne les pouvez pas, faite vous accompagner par la CDP".
Avant de rappeler aux responsables de traitement, leurs devoirs dans le cadre de leur travail de collecte, de stockage, de conservation, de modification, de diffusion, de transfert, d’interconnexion, de destruction des données nominatives. Cette structure sensibilise les citoyens sur leurs droits à accepter ou non un traitement de leurs données, être informés, rectifier, supprimer, sanctionner quand c’est illicite ou frauduleux".
«On n’est jamais rassuré. On doit être vigilant. On doit être en éveil, resté attentif aux traitements de nos données personnelles. On doit être attentif lors qu’on rentre sur la toile, sur les réseaux sociaux, sur ce que l’on donne comme information, comme données personnelles, à ce que l’on met à disposition. Et comment ces données pourraient être traitées ? Est-ce qu’elles pourraient être volées, qu’elles pourraient être utilisées de manière frauduleuse », clôt-elle.
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