Le taux de la pauvreté au Sénégal est passé de 50,8% en 2006 à 46,7% en 2011, soit une baisse de 4,1%. Malgré cette légère amélioration des conditions des ménages, il y a quelques disparités régionales. En effet, dans certaines régions, le taux de pauvreté a connu une augmentation sur la péreiode2006 à 2011, traduisant une détérioration du niveau des ménages. C’est ce qui ressort de la revu conjointe du secteur agricole (Rcsa) 2014 que vient de publier le ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural, à travers la direction de l’analyse, de la prévision et des statistiques agricoles (Dapsa).
D’après le document, l’analyse de la situation alimentaire au Sénégal entre 2006 et 2011 montre que 38,5% des ménages vivent dans l’insécurité alimentaire monétaire en 2006 contre 28,5% en 2011. Soit une baisse de 9,8% sur cette période. Des résultats qui cachent des disparités selon les milieux de résidence. En milieu rural, le taux d’insécurité alimentaire monétaire est le plus élevé (47,7% entre 2006, contre 32,1% en 2011, soit une baisse de 15,6%), comparativement en milieu urbain (29,1% en 2006, contre 23,1% en 2011), relaie "le Populaire".
Selon la Revue, il ressort que 30% des ménages en milieu rural sont dans l’insécurité alimentaire dont 12% en situation sévère et 18% en situation modérée. Ces ménages ne peuvent pas satisfaire leurs besoins alimentaires minimaux de façon adéquate. Ils ont une consommation alimentaire très déficiente pour ceux en situation sévère. L’ampleur de l’insécurité alimentaire varie selon les régions. D’après le document, les régions avec une proportion élevée de ménages qui n’ont pas une consommation alimentaire satisfaisante (pauvre et limite) sont : Ziguinchor (63%), Kédougou (56%), Sédhiou et Kolda (52%). Les autres régions telles que Fatick (33%), Kafrine (32%), et Matam (31%), sont également touchées par le phénomène mais dans une proportion relativement modérée.
En revanche la situation paraît meilleure dans les régions de Tambacounda, Diourbel, Kaolack, Saint-Louis, Thiès, Louga et Dakar où la proportion de ménages dont la consommation alimentaire n’est pas satisfaisante (pauvre et limite) ne dépasse pas 30%. S’agissant des dépenses alimentaires, le rapport montre que la part des dépenses alimentaires représente 81% du budget des ménages. Dans toutes les régions du Sénégal les ménages consacrent au moins 60% de leurs dépenses dans l’alimentation.
D’après le document, l’analyse de la situation alimentaire au Sénégal entre 2006 et 2011 montre que 38,5% des ménages vivent dans l’insécurité alimentaire monétaire en 2006 contre 28,5% en 2011. Soit une baisse de 9,8% sur cette période. Des résultats qui cachent des disparités selon les milieux de résidence. En milieu rural, le taux d’insécurité alimentaire monétaire est le plus élevé (47,7% entre 2006, contre 32,1% en 2011, soit une baisse de 15,6%), comparativement en milieu urbain (29,1% en 2006, contre 23,1% en 2011), relaie "le Populaire".
Selon la Revue, il ressort que 30% des ménages en milieu rural sont dans l’insécurité alimentaire dont 12% en situation sévère et 18% en situation modérée. Ces ménages ne peuvent pas satisfaire leurs besoins alimentaires minimaux de façon adéquate. Ils ont une consommation alimentaire très déficiente pour ceux en situation sévère. L’ampleur de l’insécurité alimentaire varie selon les régions. D’après le document, les régions avec une proportion élevée de ménages qui n’ont pas une consommation alimentaire satisfaisante (pauvre et limite) sont : Ziguinchor (63%), Kédougou (56%), Sédhiou et Kolda (52%). Les autres régions telles que Fatick (33%), Kafrine (32%), et Matam (31%), sont également touchées par le phénomène mais dans une proportion relativement modérée.
En revanche la situation paraît meilleure dans les régions de Tambacounda, Diourbel, Kaolack, Saint-Louis, Thiès, Louga et Dakar où la proportion de ménages dont la consommation alimentaire n’est pas satisfaisante (pauvre et limite) ne dépasse pas 30%. S’agissant des dépenses alimentaires, le rapport montre que la part des dépenses alimentaires représente 81% du budget des ménages. Dans toutes les régions du Sénégal les ménages consacrent au moins 60% de leurs dépenses dans l’alimentation.
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