En attendant l’éventuelle réplique de Marseille face à Bordeaux, dimanche soir, Paris n’a pas manqué l’occasion de s’inviter en tête de la Ligue 1, vendredi, en ouvrant le bal de la 14e levée par un succès méritoire à Metz. Une victoire attendue des doubles champions de France qui a néanmoins tardé à se dessiner, les Maïga et consorts ayant vendu chèrement leur peau. Tout commence pourtant très bien pour les Parisiens à Saint-Symphorien. Passé un petit round d’observation, Pastore profite de la fébrilité des défenseurs messins pour s’en aller tromper d’un piqué bien ajusté un Carrasso livré à lui-même (0-1, 9e). Et les affaires des Grenats ne s’arrangent pas puisque dans la foulée, le malheureux Bussmann, sous la pression d’Ibrahimovic, détourne le ballon dans ses propres filets sur un coup franc dévié de Lavezzi (0-2, 16e).
Un quart d’heure de jeu et les affaires semblent déjà pliées en Moselle. Et le FC Metz de se diriger tout droit vers sa première défaite de la saison à domicile. Bien sûr les locaux n’abdiquent pas, à l’image de Malouda ou de N’Daw qui d’une demi-volée du gauche (27e) et d’une tête plongeante (37e) tentent de sonner la révolte. Mais Paris, alors, contrôle les débats. Ce en dépit du changement de chaussures d’un Ibrahimovic manifestement mal à l’aise (14e) et de la sortie prématurée d’un Cabaye touché à un mollet (21e).
Derrière, Carrasso fait des miracles dans les buts, tenant tête à Ibrahimovic et à un Cavani venu épauler le géant suédois dans les 20 dernières minutes de la partie. Paris pousse et finit par reprendre le dessus quand après deux nouvelles parades du portier messin, Lavezzi, à l’origine de l’occasion, surgit au second poteau pour donner la victoire aux siens (2-3, 84e). "On a maîtrisé la première période, on a connu une deuxième mi-temps difficile mais on a accéléré à la fin pour gagner le match et on l’a fait", résumera après coup un Laurent Blanc serein et sûr de son fait. Le PSG, en toute logique, devait s’imposer ce soir à Metz. Le contrat est rempli. A la concurrence de jouer désormais !
Un quart d’heure de jeu et les affaires semblent déjà pliées en Moselle. Et le FC Metz de se diriger tout droit vers sa première défaite de la saison à domicile. Bien sûr les locaux n’abdiquent pas, à l’image de Malouda ou de N’Daw qui d’une demi-volée du gauche (27e) et d’une tête plongeante (37e) tentent de sonner la révolte. Mais Paris, alors, contrôle les débats. Ce en dépit du changement de chaussures d’un Ibrahimovic manifestement mal à l’aise (14e) et de la sortie prématurée d’un Cabaye touché à un mollet (21e).
Maïga ne tremble pas
Sans doute un brin trop facile, le PSG mène, domine, mais ne prend pas la peine de tuer le match. Une condescendance coupable puisqu’à la reprise, les joueurs d’Albert Cartier ont tôt fait de remettre les pendules à l’heure. Deux coups de sifflet de M. Fautrel permettent en effet aux Messins de revenir à hauteur. Le premier pour une faute peu évidente de Rabiot – enfin de retour au jeu – sur Krivets, qui vient alors de suppléer Malouda (48e). Le second pour une main maladroite de Van der Wiel en pleine surface (52e). Par deux fois, Maïga fait preuve de sang-froid et transforme la sentence face à Sirigu (1-2, 49e puis 2-2, 53e).Derrière, Carrasso fait des miracles dans les buts, tenant tête à Ibrahimovic et à un Cavani venu épauler le géant suédois dans les 20 dernières minutes de la partie. Paris pousse et finit par reprendre le dessus quand après deux nouvelles parades du portier messin, Lavezzi, à l’origine de l’occasion, surgit au second poteau pour donner la victoire aux siens (2-3, 84e). "On a maîtrisé la première période, on a connu une deuxième mi-temps difficile mais on a accéléré à la fin pour gagner le match et on l’a fait", résumera après coup un Laurent Blanc serein et sûr de son fait. Le PSG, en toute logique, devait s’imposer ce soir à Metz. Le contrat est rempli. A la concurrence de jouer désormais !
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