Le PAPEJF a procédé à la signature d’une convention de refinancement de la ligne de crédit de 4 milliards de F CFA « pour financer l’emploi des jeunes et des femmes » avec la BIMAO. Le PAPEJF qui vise à terme (2018), 15 000 emplois directs, compte financer 800 projets d’ici le 30 juin 2015 dans le cadre de ce financement où 750 projets sont déjà présélectionnés. Les taux d’intérêt varient de 7 à 8%, en fonction du critère choisi, et l’apport personnel est nul. Les jeunes et les femmes admissibles peuvent emprunter jusqu’à 12,5 millions de F CFA.
« Nous misons sur plus de 400 000 emplois pour les cinq (5) ans (2014-2018) », a rappelé le Directeur de Cabinet du ministre de la Jeunesse, Bemba Diop. Sur la question de l’émigration clandestine, le directeur de Cabinet de Mame Mbaye Niang, dans les colonnes de « L’Observateur », rejette la responsabilité imputée à l’Etat. « Parfois il y a des situations qu’on ne peut pas imputer à l’inefficacité de mesures publiques mises en n’œuvre par l’Etat. C’est une explication très simple. Il peut y avoir des commerçants et des fonctionnaires qui, dans une certaine situation, se proposent à l’émigration clandestine. Je ne pense pas qu’il y a une responsabilité de l’Etat.
Il y a une responsabilité personnelle et un certain niveau de conscience qui font que les jeunes s’aventurent à l’émigration clandestine. Il y a des politiques ambitieuses mises en place par l’Etat », déclare-t-il.
« Nous misons sur plus de 400 000 emplois pour les cinq (5) ans (2014-2018) », a rappelé le Directeur de Cabinet du ministre de la Jeunesse, Bemba Diop. Sur la question de l’émigration clandestine, le directeur de Cabinet de Mame Mbaye Niang, dans les colonnes de « L’Observateur », rejette la responsabilité imputée à l’Etat. « Parfois il y a des situations qu’on ne peut pas imputer à l’inefficacité de mesures publiques mises en n’œuvre par l’Etat. C’est une explication très simple. Il peut y avoir des commerçants et des fonctionnaires qui, dans une certaine situation, se proposent à l’émigration clandestine. Je ne pense pas qu’il y a une responsabilité de l’Etat.
Il y a une responsabilité personnelle et un certain niveau de conscience qui font que les jeunes s’aventurent à l’émigration clandestine. Il y a des politiques ambitieuses mises en place par l’Etat », déclare-t-il.
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