Les viols et abus sexuels font ravage au Sénégal, les religieux et les communicateurs s’impliquent dans la lutte contre ces violences basées sur le genre. Une rencontre en ce sens a eu lieu avec le réseau national des journalistes contre le viol et les abus sexuels à Kédougou.
Moustapha Fall en est le président. «Ce phénomène est plus présente dans notre société et les femmes et les enfants sont les couches les plus affectés, car les plus vulnérables. La violence basée sur le genre à pris des proportions inquiétantes et nous en tant que association de journalistes notre mission principale est d’informer mais surtout de mener des actions de prévention et de pris en charge en vu de contribuer à l’éradication de ses violences qui ne cessent de s’accroître au Sénégal et d’apeurer les familles. Aujourd’hui nous sommes entre le mois de janvier et le mois de mais à 4700 cas de viols dans ce pays. Et ceci malgré la faiblesse du taux de dénonciation. Pour cela nous avons entamé cette campagne de sensibilisation. Nous constatons que les filles et les garçons de bas âges sont devenus la cible de ses maniaques. Nous lançons un appel à travers l’Etat de faire une proposition de loi à l’Assemblée nationale : castrer les violeurs ceux qui atteignent les enfants, ou augmenter la peine de 30 ans comme l’a fait le Maroc », exige Moustapha Fall, selon la Rfm.
Moustapha Fall en est le président. «Ce phénomène est plus présente dans notre société et les femmes et les enfants sont les couches les plus affectés, car les plus vulnérables. La violence basée sur le genre à pris des proportions inquiétantes et nous en tant que association de journalistes notre mission principale est d’informer mais surtout de mener des actions de prévention et de pris en charge en vu de contribuer à l’éradication de ses violences qui ne cessent de s’accroître au Sénégal et d’apeurer les familles. Aujourd’hui nous sommes entre le mois de janvier et le mois de mais à 4700 cas de viols dans ce pays. Et ceci malgré la faiblesse du taux de dénonciation. Pour cela nous avons entamé cette campagne de sensibilisation. Nous constatons que les filles et les garçons de bas âges sont devenus la cible de ses maniaques. Nous lançons un appel à travers l’Etat de faire une proposition de loi à l’Assemblée nationale : castrer les violeurs ceux qui atteignent les enfants, ou augmenter la peine de 30 ans comme l’a fait le Maroc », exige Moustapha Fall, selon la Rfm.
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