
En collaboration avec la Fondation Konrad Adenauer, l’association sénégalaise de coopération décentralisée (ASECOD) a présenté ce jeudi son vingtième numéro. Il porte sur l’abandon de l’excision. Ainsi, de nombreux spécialistes de la question dont des ONG ont assisté à ce lancement, occasion de nombreux échanges.
Pour le représentant résident de la Fondation Konrad Adenauer, Dr Stefan Gehrold, malgré le chemin parcouru, il reste beaucoup de choses à faire.
C’est pourquoi, il estime que la principale question est de savoir dans quelle mesure le Sénégal pourrait se départir de cette pratique. Car il y a beaucoup de personnes qui soutiennent encore l’excision.
Pour la Représentante du ministère des Affaires sociales et des Relations avec les Institutions, le thème développé dans le vingtième numéro est très important. Et le Sénégal n’est pas insensible à ce fléau. C’est pourquoi souligne-t-elle, le Gouvernement a pénalisé cette pratique au niveau juridique. Toutefois, elle estime que "les sanctions pénales ne sauraient être suffisantes". Elle insiste sur la sensibilisation. Mme Guèye pense" qu’il faut beaucoup sensibiliser en insistant sur les dégâts, les conséquences de cette pratique".
Pour sa par, M. Sidy Dieng, Sénateur et Président de la l’ASECOD, qui approuve, par ailleurs, cette démarche de sensibilisation, ce combat est d’autant plus impérieux que cette pratique moyennageuse n’est dictée par aucune religion révélée.
La responsable de l’ONG Tostan, Molly Melching qui travaille sur cette question d’abandon d’excision, a aussi souligné l’importance de la sensibilisation, seul gage pour les femmes de garder leur dignité humaine. C’est pourquoi elle suggère d’utiliser l’éducation qui permet à la femme de connaitre ses doits ; la diffusion organisée, elle consiste à aller de village en village pour la diffusion de l’information.
Cette revue qui est tirée à dix mille exemplaires est distribuée dans les écoles, les ONG et ailleurs.
Pour le représentant résident de la Fondation Konrad Adenauer, Dr Stefan Gehrold, malgré le chemin parcouru, il reste beaucoup de choses à faire.
C’est pourquoi, il estime que la principale question est de savoir dans quelle mesure le Sénégal pourrait se départir de cette pratique. Car il y a beaucoup de personnes qui soutiennent encore l’excision.
Pour la Représentante du ministère des Affaires sociales et des Relations avec les Institutions, le thème développé dans le vingtième numéro est très important. Et le Sénégal n’est pas insensible à ce fléau. C’est pourquoi souligne-t-elle, le Gouvernement a pénalisé cette pratique au niveau juridique. Toutefois, elle estime que "les sanctions pénales ne sauraient être suffisantes". Elle insiste sur la sensibilisation. Mme Guèye pense" qu’il faut beaucoup sensibiliser en insistant sur les dégâts, les conséquences de cette pratique".
Pour sa par, M. Sidy Dieng, Sénateur et Président de la l’ASECOD, qui approuve, par ailleurs, cette démarche de sensibilisation, ce combat est d’autant plus impérieux que cette pratique moyennageuse n’est dictée par aucune religion révélée.
La responsable de l’ONG Tostan, Molly Melching qui travaille sur cette question d’abandon d’excision, a aussi souligné l’importance de la sensibilisation, seul gage pour les femmes de garder leur dignité humaine. C’est pourquoi elle suggère d’utiliser l’éducation qui permet à la femme de connaitre ses doits ; la diffusion organisée, elle consiste à aller de village en village pour la diffusion de l’information.
Cette revue qui est tirée à dix mille exemplaires est distribuée dans les écoles, les ONG et ailleurs.
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