Le député de Taxawu Sénégal, Babacar Aba Mbaye intervenant sur les ondes de la RFM ne s’est pas privé de marquer la position de sa coalition concernant cette démarche des députés libéraux. Pour le parlementaire, c’est la méthode fast-track de cette commission parlementaire qui pose problème. C’est une démarche que monsieur Mbaye ne voit pas d’un bon œil. Et en ces termes, déclare-t-il, « en un jour on reçoit une demande de la commission d’enquête. On convoque le bureau. C’est quelque chose d’inédit. Nous pensions que l’Assemblée nationale n’allait pas suivre une telle démarche. Cela encore une fois confirme les positions de ceux qui soutenaient qu’ils sont les premiers à déposer une loi modificative pour la révision du code électoral. Ceux-là étaient contre le dialogue politique et traitaient tous les participants au dialogue de traitres. Et cette méthode fast track démontre à suffisance que c’est seule la majorité qui fonctionne à l’Assemblée nationale ».
Selon toujours, le député Babacar Aba Mbaye, sa coalition est d’accord avec le principe mais que cela ne veut pas dire qu’ils (les députés du PDS) ont raison. « Nous leur concédons cela. Mais ce qui ne veut pas dire qu’ils ont raison. Je pense que le combat est ailleurs. C’est de se battre à ce que l’Assemblée nationale soit celle du peuple. L’expérience nous a démontré le contraire. Nous sommes d’accord avec le principe. Mais encore une fois, cela ne veut pas dire qu’ils ont raison », a tonné monsieur Mbaye.
Il faut rappeler qu’un soupçon de corruption sur deux magistrats du Conseil constitutionnel est soulevé par les députés du parti démocratique Sénégalais. Concernant le rejet de la candidature de Karim Wade, le PDS a invoqué « des conflits d’intérêts, des avantages indus et des soupçons de corruption » au sein du Conseil constitutionnel.
Selon toujours, le député Babacar Aba Mbaye, sa coalition est d’accord avec le principe mais que cela ne veut pas dire qu’ils (les députés du PDS) ont raison. « Nous leur concédons cela. Mais ce qui ne veut pas dire qu’ils ont raison. Je pense que le combat est ailleurs. C’est de se battre à ce que l’Assemblée nationale soit celle du peuple. L’expérience nous a démontré le contraire. Nous sommes d’accord avec le principe. Mais encore une fois, cela ne veut pas dire qu’ils ont raison », a tonné monsieur Mbaye.
Il faut rappeler qu’un soupçon de corruption sur deux magistrats du Conseil constitutionnel est soulevé par les députés du parti démocratique Sénégalais. Concernant le rejet de la candidature de Karim Wade, le PDS a invoqué « des conflits d’intérêts, des avantages indus et des soupçons de corruption » au sein du Conseil constitutionnel.
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