Les avocats de l’ancien président de l’Iaaf notent que sa mise en examen repose essentiellement sur le rapport établi par la commission indépendante de l’Ama, qui indique notamment que M. Roberts l’avait averti du problème des athlètes russes suspectés de dopage mais que ce dernier les avait ignorés. Or, renseignent-ils, dans son ordonnance de transport sur les lieux établie trois seulement avant a mise en examen de Lamine Diack, le juge d’instruction n’a pas visé ce dernier parmi les personnes suspectées de corruption au sein de l’Iaaf.
Selon les avocats, le fait que le Procureur de la République n’ait pas mentionné le nom de Lamine Diack dans cette liste, trois jours seulement avant sa mise en examen, est particulièrement révélateur du manque d’indices laissant suspecter sa participation aux faits.
Ainsi la principale pièce sur laquelle repose l’ensemble des mises en causes en examen dans cette affaire ne met en cause Lamine Diack dans les faits de corruption qui ont été révélés par le documentaire diffusé par la chaîne allemande Ard. Ce rapport dénonce seulement son manque de vigilance, en indiquant que le préjudice de l’Iaaf a été causé par un petit nombre de personnes qui pouvaient agir en dehors du contrôle du Président Diack, renseigne "Libération".
A la question de savoir s’il admettait avoir pu laisser une marge de manœuvre à d’autres personnes durant son absence, Lamine Diack a répondu qu’il à « manqué à ses obligations à cette période » et qu’il reconnaissait avoir « été négligent à ce moment là ».
Selon les avocats, le fait que le Procureur de la République n’ait pas mentionné le nom de Lamine Diack dans cette liste, trois jours seulement avant sa mise en examen, est particulièrement révélateur du manque d’indices laissant suspecter sa participation aux faits.
Ainsi la principale pièce sur laquelle repose l’ensemble des mises en causes en examen dans cette affaire ne met en cause Lamine Diack dans les faits de corruption qui ont été révélés par le documentaire diffusé par la chaîne allemande Ard. Ce rapport dénonce seulement son manque de vigilance, en indiquant que le préjudice de l’Iaaf a été causé par un petit nombre de personnes qui pouvaient agir en dehors du contrôle du Président Diack, renseigne "Libération".
A la question de savoir s’il admettait avoir pu laisser une marge de manœuvre à d’autres personnes durant son absence, Lamine Diack a répondu qu’il à « manqué à ses obligations à cette période » et qu’il reconnaissait avoir « été négligent à ce moment là ».
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