
Manifestation contre l'arrestation d'Ali Anouzla, rédacteur en chef de Lakome.com, le 26 septembre 2013 à Rabat. REUTERS/Stringer
"Nous avons fait un travail journalistique (sur) une menace proférée par un groupe terroriste, et il était clairement caractérisé que c'était une propagande. Donc ce n'est certainement pas un travail de communication d'al-Qaïda à travers le média Lakome. (...) Nous sommes beaucoup plus face à des autorités qui veulent créer des problèmes à Lakome, et à Ali Anouzla en particulier...".

0:00
0:00
Autres articles
-
États-Unis: les manifestations contre la politique migratoire de Trump s'étendent à plusieurs villes
-
Au large du golfe de Guinée, étudier le requin-baleine pour préserver l'océan
-
Mali: le général Assimi Goïta bientôt président sans limite de temps
-
En RDC, l'extension des mines provoque le déplacement de population à Kolwezi
-
Tchad: l’accusateur de Youssouf Boy, condamné à 5 ans de prison, a quitté le pays pour se «faire soigner»