En Gambie où l’excision est interdite, depuis 2015, un député a déposé, début mars, un projet de loi pour que cette pratique soit à nouveau légale, selon le quotidien Libération. Cette proposition de loi est contestée par de nombreux mouvements et d’associations de femmes africaines contre l’excision.
Secrétaire générale du Collectif africain contre l’excision, Mame Sira Konaté appelle à « assiéger l’Assemblée gambienne contre les décisions criminelles à l’encontre de nos filles ». Elle ajoute : « C’est un sentiment de peur qui nous habite parce que si on commence à perdre les acquis pour lesquels nos mamans se sont battues pendant plusieurs années, cela devient très dangereux pour nous ».
Pour Mme Konaté, la lutte est aussi de dire « non, par des actes posés, à l’abrogation de la loi contre l’excision en Gambie ». C’est également en lançant « une campagne de sensibilisation, préparer une caravane pour aller jusqu’en Gambie et, s’il le faut, organiser un sit-in », a-t-elle déclaré.
Secrétaire générale du Collectif africain contre l’excision, Mame Sira Konaté appelle à « assiéger l’Assemblée gambienne contre les décisions criminelles à l’encontre de nos filles ». Elle ajoute : « C’est un sentiment de peur qui nous habite parce que si on commence à perdre les acquis pour lesquels nos mamans se sont battues pendant plusieurs années, cela devient très dangereux pour nous ».
Pour Mme Konaté, la lutte est aussi de dire « non, par des actes posés, à l’abrogation de la loi contre l’excision en Gambie ». C’est également en lançant « une campagne de sensibilisation, préparer une caravane pour aller jusqu’en Gambie et, s’il le faut, organiser un sit-in », a-t-elle déclaré.
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