Le Français Michel Platini, ancien président de l’Union des associations européennes de football (UEFA), a été placé en garde à vue mardi dernier dans le cadre de l’enquête pour corruption sur l’attribution de la Coupe du monde de football au Qatar en 2022. L’ancien capitaine de l’équipe de France de football est interrogé dans les locaux de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF), à Nanterre (Hauts-de-Seine), selon le site d’informations Mediapart.
L’ex-secrétaire général de l’Élysée sous la présidence de Nicolas Sarkozy, Claude Guéant, est pour sa part entendu en audition libre par les enquêteurs de l’office anticorruption de la Police judiciaire (PJ) à Nanterre, selon une source proche de l’enquête, confirmant une information de Mediapart.
Et le quotidien Libération, dans sa parution de ce lundi, informe qu'une quatrième personnalité a été interrogé le même jour sous le statut de suspect libre dans les locaux de l'Ocliff. Et il s'agait du Sénégalais Lamine Diack, l'ancien président de l'Iaaf, dont le procès pour abus de confiance et corruption présumée va s'ouvrir en France en février 2020. Comme Guéant, Diack a été interrogé en qualité de suspect libre. Était-il entendu sur le même dossier que Platini ? Simple hasard de calendrier ? Difficile d'en dire plus pour le moment.
Il reste constant qu'en mars dernier, Lamine Diack avait été mis en examen pour corruption active en même temps que le patron de BeIn sport, Nasser al-Khelaïfi. Le Qatar était aussi cité dans ce dossier. D'après l'accusation, en vue d'influencer le vote pour l'organisation des mondiaux d'athlétisme par le Qatar, Oryx Qatar Sports Investment, contrôlés par Nasser al-Khelaïfi et son frère Khalid a versé 5,5 millions de dollars à Pamodzi, la société de Papa Massata Diack. Mediapart et The Gardian ont révélé la semaine dernière les détails des échanges entre Papa Massata Diack et le bras droit de l'Émir.
L’ex-secrétaire général de l’Élysée sous la présidence de Nicolas Sarkozy, Claude Guéant, est pour sa part entendu en audition libre par les enquêteurs de l’office anticorruption de la Police judiciaire (PJ) à Nanterre, selon une source proche de l’enquête, confirmant une information de Mediapart.
Et le quotidien Libération, dans sa parution de ce lundi, informe qu'une quatrième personnalité a été interrogé le même jour sous le statut de suspect libre dans les locaux de l'Ocliff. Et il s'agait du Sénégalais Lamine Diack, l'ancien président de l'Iaaf, dont le procès pour abus de confiance et corruption présumée va s'ouvrir en France en février 2020. Comme Guéant, Diack a été interrogé en qualité de suspect libre. Était-il entendu sur le même dossier que Platini ? Simple hasard de calendrier ? Difficile d'en dire plus pour le moment.
Il reste constant qu'en mars dernier, Lamine Diack avait été mis en examen pour corruption active en même temps que le patron de BeIn sport, Nasser al-Khelaïfi. Le Qatar était aussi cité dans ce dossier. D'après l'accusation, en vue d'influencer le vote pour l'organisation des mondiaux d'athlétisme par le Qatar, Oryx Qatar Sports Investment, contrôlés par Nasser al-Khelaïfi et son frère Khalid a versé 5,5 millions de dollars à Pamodzi, la société de Papa Massata Diack. Mediapart et The Gardian ont révélé la semaine dernière les détails des échanges entre Papa Massata Diack et le bras droit de l'Émir.
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