Avec ces élections, Omar el-Béchir espérait renforcer sa crédibilité en tant que chef de l'Etat tant au niveau local qu'international.
Mais les élections ont été boycottées par la plupart des partis d'opposition qui estimaient que le scrutin ne serait pas libre et équitable.
Et beaucoup d'électeurs ont choisi de ne pas se rendre aux urnes.
De nombreux observateurs estiment que le taux de participation réel est encore plus faible que le chiffre officiel publié.
A 71 ans, Omar el-Béchir, qui est au pouvoir depuis 1989, brigue un nouveau mandat de cinq ans.
Les observateurs de l'Union africaine (UA) ont déclaré que les libertés et les droits fondamentaux auraient pu "améliorer" l'image de ces élections, si ces bases démocratiques avaient été respectées.
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