
« Ceux qui critiquent la libération du soldat Bergdahl ont vu le boomerang revenir vers eux. » La presse américaine rediffuse toutes les déclarations des élus les plus virulents, déclarations du début de l’année, lorsque le sénateur républicain John McCain par exemple, demandait à l’administration Obama de faire tout ce qui est en son possible pour libérer le soldat Berdgahl. Ces élus se défendent en répliquant qu’ils auraient été d’accord, si les talibans n’étaient pas aussi dangereux, et menaçant pour la sécurité des Etats-Unis.
Le secrétaire d’Etat, John Kerry, balaie ces critiques. « Nous avons confiance dans les critères définis, et s’ils sont violés, nous avons des moyens d’agir. Je ne vous dis pas qu’ils n’auront pas la possibilité de s’impliquer à nouveau, mais ils peuvent aussi être tués en agissant ainsi.Personne ne doit douter de la capacité des Etats-Unis de protéger les Américains. »
Chaque jour apporte des détails supplémentaires distillés par le département de la Défense. On apprend par des indiscrétions dans la presse que Bowe Bergdahl aurait tenté de s’enfuir, et qu’en guise de punition, il a été ensuite détenu pendant des semaines dans une cage.
Quant aux parents du jeune homme, ils ont reçu des menaces de mort, que l’administration prend très au sérieux. Une enquête a été confiée au FBI.
Source : Rfi.fr
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