Bébé Aïcha ne s’est plus où donner de la tête. La célèbre comédienne sénégalaise vit de douloureux moments au Koweït où elle était partie s’installer depuis peu, dans une villa R+3 où elle officiait comme domestique. Après avoir signé un contrat par le biais d’une de ses connaissances, elle a embarqué, il y a moins de deux (2) mois pour ce qu’elle croyait être une destination de rêve.
Elle s’est confiée à "l’Observateur" où elle explique en détail ses calvaires. « Lorsque je venais d’arriver, je vous assure que je vivais en paix. Et je ne me plaignais pas du tout. Seulement ma situation a changé du jour au lendemain et va de mal en pis. La patronne de la maison m’a donné plus de tâches ménagères à faire. Je ne m’occupais que d’une partie de la maison, mais je me suis proposée maintenant au nettoyage du rez-de-chaussée et du premier étage de la villa (R+3) », martèle-t-elle au bout du fil.
Loin d’être au bout de sa peine. Ses horaires ont été bouleversés. À partir de 06 heures du matin, elle est déjà sur pied et ne prend congé de ses employeurs qu’à 22 heures. Ses seuls moments de répit, la ménagère les dédit à la prière quotidienne. Au bout d’un moment Bébé Aïcha a fini par craquer. Ses larmes et lamentations ont fini par la rendre malade. Sa corpulence fragile et sa santé précaire ont été mises à rude épreuve. « Le pire dans tout ça c’est que je ne mangeais pas à ma faim. J’ai beau essayé de m’habituer à leurs plats, mais je n’y arrive pas. Je me gave d’omelette à longueur de journée. Au début, je me servais directement dans le frigo pour préparer mes propres recettes. Maintenant, c’est devenu chose impossible. Si j’ose toucher le réfrigérateur, je me fais passer un savon par la cuisinière, une ressortissante des Philippines. Elle ne perd pas une minute pour me dénoncer à la patronne », sanglote la comédienne.
Sans demander son reste, elle prend ses jambes à son cou. Elle erre des heures dans les rues, sans savoir, où elle allait, avant qu’une bonne dame ne l’aborde. Celle-ci, au fait des «conditions inhumaines» dans lesquelles vivait Bébé Aïcha, décide de lui venir en aide et l’héberge chez elle. «Je suis chez cette dame, en attendant d’entreprendre des démarches pour rentrer au Sénégal. C’est grâce à elle si j’ai retrouvé mes esprits. Ma patronne a essayé de me convaincre de rentrer chez elle, mais je craignais le pire. Je n’ai pas osé y retourner, malgré ses supplications. J’ai même changé de numéro pour qu’elle ne m’appelle plus. Maintenant je n’attends qu’une chose, rentrer au bercail et oublier, au plus vite cette mésaventure », conclut-elle.
Elle s’est confiée à "l’Observateur" où elle explique en détail ses calvaires. « Lorsque je venais d’arriver, je vous assure que je vivais en paix. Et je ne me plaignais pas du tout. Seulement ma situation a changé du jour au lendemain et va de mal en pis. La patronne de la maison m’a donné plus de tâches ménagères à faire. Je ne m’occupais que d’une partie de la maison, mais je me suis proposée maintenant au nettoyage du rez-de-chaussée et du premier étage de la villa (R+3) », martèle-t-elle au bout du fil.
Loin d’être au bout de sa peine. Ses horaires ont été bouleversés. À partir de 06 heures du matin, elle est déjà sur pied et ne prend congé de ses employeurs qu’à 22 heures. Ses seuls moments de répit, la ménagère les dédit à la prière quotidienne. Au bout d’un moment Bébé Aïcha a fini par craquer. Ses larmes et lamentations ont fini par la rendre malade. Sa corpulence fragile et sa santé précaire ont été mises à rude épreuve. « Le pire dans tout ça c’est que je ne mangeais pas à ma faim. J’ai beau essayé de m’habituer à leurs plats, mais je n’y arrive pas. Je me gave d’omelette à longueur de journée. Au début, je me servais directement dans le frigo pour préparer mes propres recettes. Maintenant, c’est devenu chose impossible. Si j’ose toucher le réfrigérateur, je me fais passer un savon par la cuisinière, une ressortissante des Philippines. Elle ne perd pas une minute pour me dénoncer à la patronne », sanglote la comédienne.
Sans demander son reste, elle prend ses jambes à son cou. Elle erre des heures dans les rues, sans savoir, où elle allait, avant qu’une bonne dame ne l’aborde. Celle-ci, au fait des «conditions inhumaines» dans lesquelles vivait Bébé Aïcha, décide de lui venir en aide et l’héberge chez elle. «Je suis chez cette dame, en attendant d’entreprendre des démarches pour rentrer au Sénégal. C’est grâce à elle si j’ai retrouvé mes esprits. Ma patronne a essayé de me convaincre de rentrer chez elle, mais je craignais le pire. Je n’ai pas osé y retourner, malgré ses supplications. J’ai même changé de numéro pour qu’elle ne m’appelle plus. Maintenant je n’attends qu’une chose, rentrer au bercail et oublier, au plus vite cette mésaventure », conclut-elle.
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