L’affaire Emiliano Sala est loin d’être terminée. Pour rappel, lors du mercato d’hiver 2019, l’attaquant argentin de Nantes s’était engagé avec Cardiff, club gallois évoluant à l’époque en Premier League (avant sa rétrogradation l’été dernier). Sauf que l’ancien Bordelais n’a jamais eu l’opportunité de fouler les pelouses britanniques suite au crash en mer de son avion. Depuis, les deux clubs se mènent une guerre d’ordre financier. Les dirigeants des Canaris espèrent toujours percevoir le gain de ce transfert, ce à quoi les Gallois se refusent.
Le 30 septembre dernier, la fédération internationale de football (FIFA) tranchait et ordonnait à Cardiff de payer six millions d’euros au FC Nantes, ce qui correspondait au premier versement des 17 millions d’euros du transfert. Mais visiblement, l’histoire n’est pas encore arrivée à son épilogue. Les Bluebirds envisagent en effet de porter cette affaire devant le tribunal arbitral du sport (TAS) pour faire -simplement- annuler la décision de l’instance mondiale.
« En engageant un avion sans licence et en faisant appel à un pilote sans licence et inexpérimenté pour le vol du joueur du 19 janvier 2019, M. Willie McKay et son entreprise avaient gravement manqué à leur devoir de vigilance. Cette prétendue négligence a entraîné le crash de l’aéronef qui a entraîné le décès du joueur. Par conséquent, selon Cardiff, les personnes impliquées dans les opérations de vol devraient être considérées comme directement responsables des préjudices subis par Cardiff, qui incluent notamment la valeur marchande du joueur en tant que futur attaquant de la Premier League au moment de son décès »,a soutenu Cardiff. Des arguments irrecevables pour le FC Nantes et pour la FIFA qui s’était donc chargée de sanctionner les Bluebirds. Tout cela est loin d’être fini.
Le 30 septembre dernier, la fédération internationale de football (FIFA) tranchait et ordonnait à Cardiff de payer six millions d’euros au FC Nantes, ce qui correspondait au premier versement des 17 millions d’euros du transfert. Mais visiblement, l’histoire n’est pas encore arrivée à son épilogue. Les Bluebirds envisagent en effet de porter cette affaire devant le tribunal arbitral du sport (TAS) pour faire -simplement- annuler la décision de l’instance mondiale.
Cardiff conteste être responsable
Sauf que, selon les informations du Telegraph, les actuels quatorzièmes de Championship (deuxième division anglaise) sont sous le coup d’une interdiction de recrutement de trois années s’ils ne payaient pas la somme qu’ils doivent à l’équipe maintenant entraînée par Christian Gourcuff et actuelle troisième de Ligue 1. Mais Cardiff conteste être responsable du joueur lors de son accident et pointe toujours du doigt l’agent en charge du transfert, Willy McKay.« En engageant un avion sans licence et en faisant appel à un pilote sans licence et inexpérimenté pour le vol du joueur du 19 janvier 2019, M. Willie McKay et son entreprise avaient gravement manqué à leur devoir de vigilance. Cette prétendue négligence a entraîné le crash de l’aéronef qui a entraîné le décès du joueur. Par conséquent, selon Cardiff, les personnes impliquées dans les opérations de vol devraient être considérées comme directement responsables des préjudices subis par Cardiff, qui incluent notamment la valeur marchande du joueur en tant que futur attaquant de la Premier League au moment de son décès »,a soutenu Cardiff. Des arguments irrecevables pour le FC Nantes et pour la FIFA qui s’était donc chargée de sanctionner les Bluebirds. Tout cela est loin d’être fini.
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