L’ombre d’Ousmane Sembéne a plané au théâtre national Daniel Sorano, hier, lors de la première de « Panique à domicile ». Un film de Cinégal Pictures, une jeune et prometteuse structure cinématographique, portée sur les fonds baptismaux en 2004, par Cherif Ace Faty, le réalisateur de ce moyen-métrage de 50 minutes.
« Panique à domicile » est un savant mélange de fiction dramatique et d’humour. En effet, tout au long des 50 minutes que dure le film, il y a toujours cette petite scène qui plonge la salle dans un fou rire pour ensuite la replonger dans les galères de Makha, le personnage principal. Un voyage entre rire et compassion, bien accueilli par le public, venu nombreux.
L’histoire racontée par cette production cent pour cent sénégalaise- la 8e de Cinégal Pictures- est une de ces réalités sociétales dont on parle peu: les sacrifices humains à l’approche des joutes électorales. Une pratique moyenâgeuse qui a failli couter la vie à Makha. Un jeune homme sans histoires dont la maman Sokhna, a juré fidélité à Ndiaga, le politique à la base de sa mésaventure. Un dilemme s’installe alors dans la tête de Makha, quand il su que sa mère, milite pour l’homme qui a voulu le sacrifier. Doit-il le lui dire ? Et Comment ? S’y ajoute, que Fatima, sa petite amie est en état de grossesse. Cependant, Sokhna, sans se douter de tout cela, force Makha à voter pour son candidat. Des élections que Ndiaga perd malgré tout.
Le réalisateur, Cherif Ace Faty, l’une des têtes de pont de la nouvelle vague de cinéastes sénégalais, a ainsi appelé les autorités « à appuyer les acteurs culturels en général et les cinéastes en particulier, afin de révolutionner le 7e art ».
Une invite qui d’ailleurs n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd car, le ministre de la Culture Magnick Ndiaye, venu présider la cérémonie de lancement du film, a offert au club (Cingégal Pictures,) la somme de 500.000F Cfa, en plus d’avoir pris en charge les frais de location de la salle. Touché dit il par « la débrouillardise » de Cherif Ace Faty et de ses collaborateurs.
« Panique à domicile » sera diffusée prochainement au Centre Culturel Français et dans d’autres salles de la capitale sénégalaise.
« Panique à domicile » est un savant mélange de fiction dramatique et d’humour. En effet, tout au long des 50 minutes que dure le film, il y a toujours cette petite scène qui plonge la salle dans un fou rire pour ensuite la replonger dans les galères de Makha, le personnage principal. Un voyage entre rire et compassion, bien accueilli par le public, venu nombreux.
L’histoire racontée par cette production cent pour cent sénégalaise- la 8e de Cinégal Pictures- est une de ces réalités sociétales dont on parle peu: les sacrifices humains à l’approche des joutes électorales. Une pratique moyenâgeuse qui a failli couter la vie à Makha. Un jeune homme sans histoires dont la maman Sokhna, a juré fidélité à Ndiaga, le politique à la base de sa mésaventure. Un dilemme s’installe alors dans la tête de Makha, quand il su que sa mère, milite pour l’homme qui a voulu le sacrifier. Doit-il le lui dire ? Et Comment ? S’y ajoute, que Fatima, sa petite amie est en état de grossesse. Cependant, Sokhna, sans se douter de tout cela, force Makha à voter pour son candidat. Des élections que Ndiaga perd malgré tout.
Le réalisateur, Cherif Ace Faty, l’une des têtes de pont de la nouvelle vague de cinéastes sénégalais, a ainsi appelé les autorités « à appuyer les acteurs culturels en général et les cinéastes en particulier, afin de révolutionner le 7e art ».
Une invite qui d’ailleurs n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd car, le ministre de la Culture Magnick Ndiaye, venu présider la cérémonie de lancement du film, a offert au club (Cingégal Pictures,) la somme de 500.000F Cfa, en plus d’avoir pris en charge les frais de location de la salle. Touché dit il par « la débrouillardise » de Cherif Ace Faty et de ses collaborateurs.
« Panique à domicile » sera diffusée prochainement au Centre Culturel Français et dans d’autres salles de la capitale sénégalaise.
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